Occurences de l'expression

plus

pour DUFRESNY, Charles

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LA JOUEUSE (1699)

C'est ce qui me fâche ; car depuis la trahison que vous m'avez faite, je n'ai pas un plus grand plaisir que de quereller avec vous. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Mais adressons-nous à l'autre fille de chambre de Madame Orgon : depuis qu'elle est Musicienne de Monsieur, elle n'a plus aucune liaison avec mon ennemie. (Acte 1, scène 3, TRIOLET)
Ce matin en la menaçant de son couvent, je l'ai trouvée rêveuse ; ses petites naïvetés étaient moins gaies, mais plus spirituelles qu'à l'ordinaire. (Acte 1, scène 4, FROSINE)
Plus tendrement. (Acte 1, scène 5, TRIOLET)
Encore plus de tendresse. (Acte 1, scène 5, TRIOLET)
Mais songeons au plus pressé, allez vite accorder votre clavecin, Monsieur Triolet, car Madame la Marquise va venir, elle veut entendre votre cantate, cette Marquise-là est une Marquise de bonne humeur, avec qui j'ai fait connaissance à la campagne, d'où je viens. (Acte 1, scène 6, ORGON)
Çà allez donc vite vous accorder tous là-dedans, moi je vais tâcher de m'accorder avec ma femme, pour marier au plus vite, Jacinte. (Acte 1, scène 6, ORGON)
En attendant, Monsieur, je voudrais vous prier de protéger un homme que je veux proposer tantôt à Madame pour Jacinte : c'est un jeune homme aimable, qui est fils unique d'une mère très riche, et qui n'a plus de mari ; ce jeune homme-là s'appelle Dorante. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Le plus pressé c'est de voir Jacinte. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
Oui, oui, nous rentrerons tout à l'heure au Concert ; mais vous n'y avez été guère attentive ; vos yeux y ont eu plus de plaisir que vos oreilles, parlez-moi franchement. (Acte 2, scène 1, FROSINE)
Tu sais que j'ai bien plus confiance en toi qu'en Lisette, oui je me sens toute soulagée d'être seule avec toi. (Acte 2, scène 1, JACINTE)
Allons ne vous contraignez plus, achevez de vous soulager, dites-moi tout ce que vous avez sur le coeur. (Acte 2, scène 1, FROSINE)
Hé bien par exemple je le regardai tant la première fois, que dès la seconde je n'osai plus le regarder, crois-tu que ce soit-là de l'amour, Frosine ? (Acte 2, scène 1, JACINTE)
Mais les voilà qui vont chez votre mère, Dorante vient ici ; croyez-moi, Mademoiselle, évitez-le puisqu'il ne vous est plus permis de l'aimer. (Acte 2, scène 1, FROSINE)
Elle n'y viendrait pas non plus, son appartement et le mien sont comme deux pays ennemis ; ce salon-ci est neutre, restons-y. (Acte 2, scène 2, ORGON)
je ne saurais avoir ici un laquais raisonnable, tous jouent du violon jusqu'à mon petit dragon ; il étudie une maudite ouverture d'Opéra qu'il recommence vingt fois en une heure, et c'est justement celle de toutes les ouvertures qui me porte plus malheur dès que je l'ai entendue : je tenais les cartes, j'allais faire une main complète, j'entends le violon, c'est l'ouverture maudite. (Acte 2, scène 3, LA-JOUEUSE)
Je ne reconnais plus ma femme ; car avant que le jeu lui eût aigri l'humeur, elle était polie, gracieuse, enjouée, aussi je l'aimais... (Acte 2, scène 3, ORGON)
Quel supplice pour moi de laisser encore tout un jour ignorer à Jacinte, le plus tendre amour, la plus violente passion. (Acte 2, scène 5, DORANTE)
À propos, Monsieur, je ne me souviens plus combien vous me prêtâtes hier. (Acte 2, scène 6, LA-JOUEUSE)
Tout est tranquille dans la Salle de jeu, car il n'y a plus personne ; les trois dés viennent de finir, et les grands acteurs du lansquenet ne sont pas encore arrivés ; cela fait un entracte. (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Ce n'est pas ma faute si vous n'avez plus ni assiettes ni cuilliers, ni fourchettes. (Acte 2, scène 8, LISETTE)
J'ai plus de naturel que tu ne penses, Lisette, j'aime tendrement ma fille. (Acte 2, scène 8, LA-JOUEUSE)
Peut-on rien voir de plus ridicule ? (Acte 2, scène 9, LA-JOUEUSE)
Choisissez le plus sûr, pour vous aimer un jour, v.36 (Acte 3, scène 2, FROSINE)
Laide, vieille, querelleuse, squelette mourante, qui n'est plus en vie que par la langue... (Acte 3, scène 3, TRIOLET)
Je vais me marier pour la première fois de ma vie : il est temps de se retirer quand on a soixante ans ; je ne puis plus supporter les veilles. (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
Oui, Lisette ; mais je ne veux plus de ses conseils, ils sont ridicules. (Acte 3, scène 6, JACINTE)
Elle me conseille de ne point parler à Dorante, de ne plus l'aimer ; y a-t-il rien de si ridicule que de conseiller une chose impossible ? (Acte 3, scène 6, JACINTE)
Effectivement, on ne sait comment faire ; car on ne peut chasser l'amour dans un coeur avant qu'il y soit entré ; et dès qu'il est entré, il n'est plus temps. (Acte 3, scène 6, LISETTE)
Quoi qu'il en soit votre mariage ne dépend plus que de la Marquise, je vais travailler de concert avec Dorante, à la faire au plus vite consentir à votre mariage. (Acte 3, scène 6, LISETTE)
Je ne veux plus jouer, vous dis-je. (Acte 3, scène 8, LE-CHEVALIER)
Hé vous n'en avez plus. (Acte 3, scène 8, LE-CHEVALIER)
Je vous assure par avance que ce sera le plus honnête homme, le meilleur homme, le plus aimable... (Acte 3, scène 8, LA-JOUEUSE)
Mais Dorante ne veut plus me prêter qu'en terminant, et je ne puis terminer avec lui à cause de sa mère. (Acte 3, scène 9, LA-JOUEUSE)
Je te rendrai cela au plus tard par mon testament. (Acte 3, scène 10, LE-CHEVALIER)
Et de plus emprunter de l'argent à son rival pour épouser sa Maîtresse, c'est un ragoût qui me pique. (Acte 3, scène 11, LE-CHEVALIER)
Rien n'est plus vrai ; vous savez que je ne mens jamais. (Acte 4, scène 1, ORGON)
Je viens vous retrouver Madame, parce que je m'ennuyais de ne vous plus voir. (Acte 4, scène 2, JACINTE)
Plus tristement cela. (Acte 4, scène 4, TRIOLET)
Plus gaiement, aïe, plus gaiement. (Acte 4, scène 4, TRIOLET)
Ne songeant plus qu'à se venger, v.60 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
Ne songeant plus qu'à se venger, v.68 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
Son expression serait bien plus gaie, s'il n'avait perdu la pauvre défunte. (Acte 4, scène 4, LA-MARQUISE)
Mademoiselle, je crains bien qu'il n'y ait plus de mariage pour vous. (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Et je vous dis moi que rien n'est plus sûr. (Acte 4, scène 6, DORANTE)
Oui, charmante Jacinte, si vous m'aimez, rien ne peut plus nous séparer, oui je suis sûr de mon bonheur. (Acte 4, scène 7, DORANTE)
Je ne vous fait plus mystère de mon amour, mais n'en parlez point encore, je vous prie ; c'est un mariage sûr, j'ai parole de madame Orgon. (Acte 4, scène 8, DORANTE)
Heureusement pour toi, je n'ai plus que deux ou trois ans peut-être, heu, à tousser dans ce monde : je te laisserai là une jolie veuve au moins. (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
Mon mariage avec Jacinte te fera du bien ; car je dégagerai des terres qui sont les effets de ma succession, et Jacinte sera un effet de plus que je te laisserai. (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
Je ne suis plus maître de mon ressentiment. (Acte 4, scène 9, DORANTE)
Il fallait tantôt finir de bonne grâce : mais vous vouliez voir la dot, disiez-vous, voir la dot, avant que de signer : dans l'adversité, je vous aurais donné ma fille, mais à présent j'ai des vues bien plus élevées. (Acte 4, scène 11, LA-JOUEUSE)
La fortune a ses retours : vous m'avez refuser de jouer, vous aviez trop de considération pour moi, trop d'égards, disiez-vous, trop d'égards, vous ne vouliez point me ruiner, et moi je ne veux point ruiner votre santé : le mariage ne vous convient plus, mon cher Chevalier. (Acte 4, scène 11, LA-JOUEUSE)
Pendant qu'elle a encore de l'argent, allons au plus vite avertir le mari. (Acte 4, scène 13, LISETTE)
Ha, tu me caresses à présent, tu as changé ta fureur en amour, et moi j'ai changé mon amour en fierté, je suis à présent un riche veuf ; tu n'es plus un parti pour moi. (Acte 5, scène 2, TRIOLET)
Pour le coup rien ne peut plus empêcher mon bonheur ; car ma mère a dit tantôt, qu'elle se contente de la dot de Jacinte ? (Acte 5, scène 3, DORANTE)
Je viens de consoler cette pauvre petite Jacinte, elle me fait compassion ; je crois qu'elle t'en fait encore plus qu'à moi ? (Acte 5, scène 4, LA-MARQUISE)
Le Ciel me préserve d'avoir une telle pensée ; moi, déshériter un fils unique, un fils que j'aime tendrement, où je prends un parti bien plus convenable à mon humeur. (Acte 5, scène 4, LA-MARQUISE)
Oui, mon cher enfant, je me remarie ; cette manière de déshériter, est bien plus réjouissante que l'autre. (Acte 5, scène 4, LA-MARQUISE)
C'est un spectacle plus magnifique, plus intéressant, plus pathétique que tous vos opéras, Monsieur Triolet. (Acte 5, scène 5, LE-CHEVALIER)
C'est une représentation composée des plus grands acteurs : on met mille louis sur une carte, toute la table est inondée d'un flux et reflux d'or roulant. (Acte 5, scène 5, LE CHEVALIER)
Non, elle n'a plus que des fiches. (Acte 5, scène 5, LE-CHEVALIER)
Je n'en puis plus. (Acte 5, scène 6, LA-JOUEUSE)
Il n'y a plus de dot ; je ne veux point me marier à cause de ma poitrine. (Acte 5, scène 8, LE-CHEVALIER)
Quand elle voudrait je ne veux plus me marier, puisque je n'ai rien à donner à Dorante. (Acte 5, scène 9, JACINTE)
Ne me parlez plus, ne pensez plus à moi, remenez-moi à mon Couvent. (Acte 5, scène 9, JACINTE)

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LA NOCE INTERROMPUE (1699)

La Noce vous affligeait, la rupture de la Noce ne vous rend pas plus gaie ; qu'avez-vous donc ? (Acte 1, scène 3, ADRIEN)
Madame le Comtesse ne m'aime plus tant, depuis que son mari m'aime. (Acte 1, scène 3, NANETTE)
L'autre jour comme je me promenais seule dans le petit bois, j'aperçus un homme sur notre mur ; il se laissa tomber dans l'allée, j'eus peur d'abord, mais sitôt que je l'eus regardé, je te l'avoue, je n'eus plus peur de lui : je fis pourtant réflexion qu'une fille sage devait s'enfuir, je voulus courir. (Acte 1, scène 3, NANETTE)
La raison est souvent du côté du plus faible, et c'est tout comme s'il avait tort ; mais Madame, laissez-moi rêver si je ne pourrais point adroitement dégoûter Lucas d'épouser Nanette. (Acte 1, scène 7, ADRIEN)
Non quand je me représente qu'un époux unique veut avoir deux inclinations, je ne peux plus me contenir. (Acte 1, scène 7, LA-COMTESSE)
Je suppose même, pour abréger matière, qu'elle est aussi folle que vous ; mais les choses n'en sont pas plus avancées. (Acte 1, scène 9, ADRIEN)
Il a peut-être calculé qu'il fallait dater votre mariage d'aujourd'hui : quelques jours plutôt ou plus tard, décident quelque fois de la réputation d'une nouvelle mariée. (Acte 1, scène 13, ADRIEN)
Ha, ha, ha, Monsieur c'est la plus plaisante chose du monde. (Acte 1, scène 16, ADRIEN)
Vous voyez ce benêt qui baille-là aux corneilles, c'est le plus (Acte 1, scène 16, ADRIEN)
Je conclus que voilà un mari comme il nous le faut pour Nanette, sans amour, sans jalousie ; et qui ne se souciera non plus de sa femme que s'il était grand Seigneur. (Acte 1, scène 16, ADRIEN)
J'ai dit au cousin le prix de votre ferme ; il taupe à tout, et vous donne de plus vingt louis d'or de pot de vin. (Acte 1, scène 16, ADRIEN)
Il a la mine plus bonace que mon fils, Nanette l'y fiera mieux. (Acte 1, scène 20, LA-MÈRE)
Plus ta femme sera vivante, v.35 (Acte 1, scène 22, ADRIEN)
Plus ta femme sera gaillarde, v.45 (Acte 1, scène 22, ADRIEN)
De l'Habitante la plus sage, v.50 (Acte 1, scène 23, LE-COMTE)
Ça mes enfants, la Noce ne sera plus interrompue, le Contrat est signé, ne pensons qu'à nous réjouir. (Acte 1, scène 23, LE COMTE)
Je ne vois plus qu'un pas à faire. v.64 (Acte 1, scène 24, LA-COMTESSE)
Je ne vois plus qu'un pas à faire. v.69 (Acte 1, scène 24, LA COMTESSE)
Je ne vois plus qu'un pas à faire. v.74 (Acte 1, scène 24, LA COMTESSE)
Je ne vois plus qu'un pas à faire. v.79 (Acte 1, scène 24, LA COMTESSE)
Le chemin le plus malaisé v.81 (Acte 1, scène 24, LA COMTESSE)

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LES MAL-ASSORTIS (1693)

J'ai, entre autre, une jeune plante nommée Isabelle, où j'ai pris soin de greffer la sagesse la plus à l'épreuve. (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
Hon, tous les arbres qu'on greffe ne reprennent pas, et la sagesse d'une fille est semblable à ces petites branches mal nourries qu'on veut enter sur un arbre trop fort, le plus souvent la sève les étouffe. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
C'est que le plus beau des privilèges de nos habitants est fondé sur ce mariage ; c'est en sa faveur qu'ils jouissent des mal-assortis. (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
La première, pourquoi en faveur d'un si beau droit votre île n'est pas plus peuplée ? (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
Je serais bien folle de me marier, puisque j'ai déjà par devers moi le plus grand avantage qu'attire après lui le mariage le plus heureux. (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
Quel est donc ce grand avantage que le mariage le plus heureux attire après lui ? (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
Il n'est pas encore tout à fait nuit : et cinq heures du soir, c'est la plus belle heure de la toilette. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Ah, je suis bien aise que vous soyez plus diligente que vos sours ! (Acte 1, scène 3, PIERROT)
Que je suis malheureuse, d'être plus jolie que mes sours ! (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Quand elle est une fois fanée, il n'y a plus rien à refaire. (Acte 1, scène 3, PIERROT)
Je n'ai donc plus qu'une ressource, et j'espère que ma vertu me guérira de l'amour que j'ai pour Léandre. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Oh, mon pauvre ami, s'il faut absolument que j'épouse le gouverneur, je ne verrai plus Léandre. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Il vous fera voir Léandre plus beau qu'il n'est, vous oublierez que vous dormez, et puis après, que sais-je moi ? (Acte 1, scène 3, PIERROT)
Je n'en puis plus. (Acte 1, scène 4, LA FILLE)
Ma taille m'est plus chère que ma santé... (Acte 1, scène 4, LA-FILLE)
Je suis venu par l'escalier dérobé, afin de surprendre ces filles dans leur naturel, avant qu'elles aient le temps de se falsifier : car sitôt qu'une femme a le loisir de se préparer à recevoir visite, ma foi, les plus connaisseurs ne sauraient juger ni de son sein, ni de sa taille. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Ma foi, je ne suis plus curieux. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Mais, ma soeur, pourquoi contraindre monsieur à me choisir entre des soeurs qui sont plus aimables que moi ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Monsieur, j'ai une autre maladie bien plus dangereuse. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Tu les verras demain plus malheureux encore v.24 (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Si vous ne m'écoutez. Je ne puis plus souffrir v.66 (Acte 2, scène 1, LA-COQUETTE)
Oh, ce n'est plus la mode, et de ces libertés v.91 (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
J'en sais plus qu'il n'en faut. v.124 (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Ma foi, vous tenez plus du boeuf que du stoïque, v.127 (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Tout cela franchement, fait plus de mal au cour v.155 (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Je m'en suis douté, en voyant la rondeur de la jardinière : car la terre d'un jardinier est toujours plus fertile qu'une autre. (Acte 2, scène 3, ARLEQUIN)
Vous me faites plus d'honneur qu'il ne m'en est dû. (Acte 2, scène 3, LE-JARDINIER)
Vous trouverez le secret de la rajeunir, comme un vieux poirier, en lui coupant la tête : aussi bien une vieille sans argent, n'a plus que faire au monde. (Acte 2, scène 3, ARLEQUIN)
Quelque grief plus fort ? v.256 (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)
Fais voir plus de pays à l'époux complaisant, v.264 (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)
Rien n'est plus à la mode, v.299 (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)
Je crains bien que le plus fin v.322 (Acte 2, scène 5, L'HYMEN)
Car toujours la plus charmante v.325 (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)

LA COQUETTE DE VILLAGE OU LE LOT SUPPOSÉ (1715)

Je l'honore de plus, étant son receveur ; v.25 (Acte 1, scène 1, GIRARD)
Mais ici j'ai de plus un grade que j'ai pris v.30 (Acte 1, scène 1, LA VEUVE)
Et lui rendre le coeur plus faux et plus superbe. v.43 (Acte 1, scène 1, GIRARD)
Une coquette sage est plus sage qu'une autre, v.60 (Acte 1, scène 1, LA VEUVE)
Puisque étant exposée elle a plus combattu. v.61 (Acte 1, scène 1, LA VEUVE)
On ne le peut nier ; la plus forte vertu v.62 (Acte 1, scène 1, LA VEUVE)
C'est celle qui soutient l'épreuve la plus rude. v.63 (Acte 1, scène 1, LA VEUVE)
La coquette a des droits bien plus hauts que la prude : v.64 (Acte 1, scène 1, LA VEUVE)
Et n'en veut plus, dit-elle, avoir pour des Girards ; v.82 (Acte 1, scène 1, LA VEUVE)
Les traits les plus grossiers de l'affectation v.145 (Acte 1, scène 3, LA VEUVE)
Si je suis sotte encor, je ne le suis plus guère. v.180 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
J'ai de la ruse encor, bien plus qu'elle n'en voit ; v.182 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Ce qui va bien plus vous étonner, v.217 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Pourrai-je me résoudre à ne plus voir Lisette ? v.244 (Acte 1, scène 5, LE BARON)
Je ne vous verrai plus, j'en suis au désespoir. v.258 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Vous ne m'aimez plus tant. v.272 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
L'amour est le plus fort, il fera celui-ci : v.333 (Acte 1, scène 10, ARGAN)
Le baron est plus riche, ainsi le tout est bon. v.390 (Acte 2, scène 1, LA VEUVE)
Mais pour faire un tel pas, le plus tard c'est le mieux. v.405 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Et je me marierai quand je serai plus vieux. v.406 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
C'est le gain le plus prompt pour une femme sage. v.416 (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
Aujourd'hui le plus noble épouse des Lisettes. v.435 (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
De plus, Lucas voudra partager le gros lot : v.441 (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
Au plus vite il faudrait avertir le notaire. v.451 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
C'est bien dit : plus d'amour. v.513 (Acte 2, scène 5, LE BARON)
Veut qu'on aille d'abord au plus pressé. v.522 (Acte 2, scène 5, LA VEUVE)
Lisette me préfère à plus riche que moi. v.552 (Acte 2, scène 6, ARGAN)
L'amour m'en a donné plus qu'à mon ordinaire. v.554 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
Tout cela m'embarrasse : oui, car plus j'examine... v.609 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
C'est au moins mille francs, j'ai vu plusieurs zéros. v.656 (Acte 2, scène 10, GIRARD)
Dès qu'on est riche, il faut un habit plus large. v.670 (Acte 2, scène 10, GIRARD)
Il ne vous convient plus, vous serez grand seigneur, v.680 (Acte 2, scène 10, GIRARD)
Quand vous vous marierez un quart_d_heure plus tard, v.694 (Acte 1, scène 1, LA VEUVE)
Par les tours les plus fins, par les traits les plus vifs, v.706 (Acte 1, scène 1, LA VEUVE)
Elle fait de sang-froid le discours le plus tendre, v.708 (Acte 1, scène 1, LA VEUVE)
Il n'a plus rien d'humain que la forme et l'orgueil : v.729 (Acte 1, scène 2, GIRARD)
Je vais joindre Argan au plus vite. v.739 (Acte 1, scène 2, LA VEUVE)
Mais je suis en un jour moi seul plus amoureux. v.857 (Acte 1, scène 5, GIRARD)

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LE DÉPART DES COMÉDIENS (1694)

Hélas ! Je n'y vois plus v.27 (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
L'émétique le plus fin n'a point de vertu en automne. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Ce n'est pas que, si on jouait la comédie à l'aveuglette, cela nous ferait peut-être venir plus de monde. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
L'auditeur a plus d'attention quand il ne voit goutte. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Je ne ferai rien, vous dis-je ; et si, je gagnerai plus que pas un de la troupe. (Acte 1, scène 7, OCTAVE)
Mais, faites-vous réflexion que nous fermons le théâtre, et qu'en France on oublie bien vite ce qu'on n'a plus devant les yeux ? (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Croyez-moi, quelque mérite qu'ait un acteur, il cesse de briller quand le théâtre ne le met plus en vogue. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Le mérite le plus caché est celui que les dames recherchent avec le plus d'empressement. (Acte 1, scène 7, OCTAVE)
Voyant qu'il n'y a plus rien à faire à la comédie, nous nous en allons jouer un opéra à la campagne. (Acte 1, scène 9, MEZZETIN)
Nous ne la savons pas non plus, nous autres. (Acte 1, scène 9, PASQUARIEL)
Plus assidus que père et mère. v.106 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Plus le parterre sera plein, v.117 (Acte 1, scène 9, ARLEQUIN)
Plus la chose sera touchante. v.118 (Acte 1, scène 9, ARLEQUIN)

LE CHEVALIER JOUEUR (1697)

Il y a plus d'un mois que je l'ai vue. (Acte 1, scène 1, L'ÉTOURDI)
Je me suis attaché à des différences plus essentielles. (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Il ne joue plus aussi, il ne fait que parier. (Acte 2, scène 1, FRONTIN)
À la vérité ton Dorante a plus de bien en fonds ; mais les biens en fonds ont des bornes, et le casuel d'un joueur n'en a point. (Acte 2, scène 1, FRONTIN)
Mon Maître ne se pique point de ces niaiseries-là ; mais en récompense, c'est le plus ensorcelant petit scélérat, un tour de scélératesse si galant, que les femmes ont du plaisir à se laisser tromper par lui. (Acte 2, scène 1, FRONTIN)
Le personnage qui me réjouit le plus céans, c'est la vieille Comtesse, elle croit cacher sa fragilité à l'abri de l'air sévère dont sa philosophie est ombragée ; elle nomme affection fraternelle son amour pour mon maître : et toi, quel beau nom donnes-tu aux services que tu rends à l'amour masqué de cette héroïne de vertu ? (Acte 2, scène 1, FRONTIN)
Quand la pauvre Comtesse a donné ici un appartement au Chevalier, je lui dis bien que le voisinage était dangereux, la bonne Dame croyait que le danger ne serait que pour elle ; mais en ces occasions périlleuses, la plus jeune est la plus exposée. (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Je ne vous dis plus rien. (Acte 2, scène 2, ANGÉLIQUE)
Elle extravague, Nérine, je ne puis plus supporter ses égarements ; se peut-il que la figure d'un petit écervelé d'homme cause de si grands désordres dans une âme raisonnable ? (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Tu vois, Nérine, le procédé de la Comtesse ; heureusement je ne dépends plus d'elle. (Acte 2, scène 3, ANGÉLIQUE)
Non, non, vous n'avez plus d'autre tuteur que l'amour, vos affaires sont en bonne main. (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
Car vous ne vous rencontrerez jamais ensemble, et vous serez levée tous les jours avant qu'il revienne se coucher ; avec un homme réglé vous mèneriez une vie unie, ennuyeuse et languissante ; la vie d'un joueur est bien plus diversifiée ; diversité dans l'humeur; vous le verrez enragé, bourru dans l'adversité, brutal et méprisant dans la prospérité : diversité dans votre ménage ; abondance, disette, tantôt en carrosse, tantôt à pied ; quitter le premier appartement pour loger au quatrième étage : diversité dans les emmeublements ; aujourd'hui le velours, demain la serge, et après-demain les quatre murailles : la diversité réjouit les femmes. (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
Vous fîtes l'autre jour des serments de ne le plus aimer ; jugez de ses serments par les vôtres, vous l'aimez encore à la rage, et il rejoue de même. (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
Un coeur droit est plus tendre qu'un autre. (Acte 2, scène 5, NÉRINE)
Je n'oserai plus paraître devant ses yeux. (Acte 2, scène 5, DORANTE)
Cet argent-là perdu, reproches, brouilleries, raccommodement ; la pauvre victime signera une vente : enfin quand elle aura consommé toute sa dot en raccommodements, le cher fourbe ne se souciera plus de se raccommoder, et voilà le désespoir. (Acte 2, scène 5, NÉRINE)
Ce n'est plus qu'en s'exposant qu'on fait fortune auprès des femmes. (Acte 2, scène 5, NÉRINE)
Je ne connais plus que cet homme-là qui soit poltron en amour. (Acte 2, scène 5, N?RINE)
Le sommeil vous serait plus utile que... (Acte 2, scène 3, FRONTIN)
Mais on n'y veut plus jouer sur ma parole. (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
Dans le fond, je n'ai pas grand tort, je lui ai promis de ne plus jouer quand je serai marié ; mais je ne le suis pas encore. (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
Les Lansquenets sont pleins de ces visages climatériques, dont l'aspect change l'ordre des cartes ; rien n'est plus certain. (Acte 2, scène 3, FRONTIN)
Voilà l'humeur de mon maître, il ne sait ce que c'est que d'emprunter ; cependant il a des créanciers qui le persécutent ; cela l'obligerait, comme je vous ai dit, à précipiter son mariage avec Angélique, dont il n'est presque plus amoureux ; il ne l'a jamais aimée que superficiellement. (Acte 2, scène 5, FRONTIN)
Plus, quatre-vingt Louis d'or neufs pour une partie de paume ébauchée : vous ne sauriez l'achever vous-même, Madame ; il faut qu'il mette argent sous corde, mais il vous rendra cela sous la Galerie ; je lui sers de second, nous avons quatre jeux à un, quarante-cinq à rien, une chasse au pied, et notre bisque à prendre ; vous gagnerez à coup sûr. (Acte 2, scène 5, FRONTIN)
Plus, 200 livres à quatre-vingt treize Quidams pour nous avoir coiffé, chauffé, ganté, parfumé, rasé, médicamenté, voituré, porté, alimenté, désaltéré, etc. (Acte 2, scène 5, FRONTIN)
Plus 600 livres pour des ratafias, eaux-de-vie, pitrepite, et autres liqueurs soldatesques que vous n'oseriez payer de peur d'être soupçonnée d'avoir aidé à la consommation d'icelles. (Acte 2, scène 5, FRONTIN)
C'est justement pour le corriger de son plus grand défaut que vous devez lui donner de l'argent. (Acte 2, scène 7, NÉRINE)
Quand il aura de l'argent il continuera de jouer, en continuant de jouer il cessera de plaire à Angélique, et plaire à Angélique est le plus grand défaut qu'il ait, n'est-ce pas Madame ? (Acte 2, scène 7, NÉRINE)
Pour moi je suis par ma faiblesse le plus homme de tous les hommes. (Acte 2, scène 8, DORANTE)
Assurément, et vous gâteriez tout avec votre probité gauloise : entrez chez Madame elle vous donnera des leçons d'une probité d'usage qui est bien plus sûre que l'autre. (Acte 2, scène 8, NÉRINE)
Il n'est Marquis que par habitude ; il y a si longtemps qu'il prend cette qualité, qu'on ose plus lui demander pourquoi : autrefois c'était un de ces aventuriers qui se font appeler Marquis dans les Auberges ; parce que leur nom propre y est décrié. (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
Je ne me pique de rien ; mais voici mon procédé qui vous paraîtra plus singulier encore que l'aveu de mon amour. (Acte 4, scène 5, DORANTE)
Je crains que vous n'en disiez plus que vous ne voudrez. (Acte 4, scène 6, NÉRINE)
Je ne connais guère la vôtre, du moins, faire ce qui me déplaît le plus, mépriser mes volontés, violer vos serments... (Acte 4, scène 6, ANGÉLIQUE)
Vous lui avez plus d'obligation, que vous ne pensez. (Acte 4, scène 6, ANGÉLIQUE)
Peut-on plus cruellement m'offenser ? (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Je ne dois plus me fier à vos résolutions. (Acte 4, scène 6, ANGÉLIQUE)
Belle Angélique, éprouvez-moi dans des choses plus difficiles ; commandez-moi d'exposer ma fortune, ma gloire, ma vie. (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Je ne vois point d'établissement plus solide, que de ponter qu'heu... contre une certaine dupe qui taille chez la Baronne ; c'est un gros boeuf qu'heu... qu'heu.... riche et bête à l'avenant, il taille tant qu'il a de l'argent, et il a de l'argent tant qu'il veut. (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
C'est une tonne d'or que ce gros faquin-là, jamais Banquier n'a taillé plus libéralement ? (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
En un mot comme en mille je ne joue plus, je ne veux plus jouer. (Acte 4, scène 9, LE CHEVALIER)
Non qu'heu... non un spectacle bien plus magnifique. (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
Quatre de nos plus gros acteurs vont commencer une représentation la plus éblouissante ; ils ont cavé chacun trois mille louis d'or, qu'heu ; je suis curieux de voir douze mille louis d'or sur un tapis ; cela ne se voit pas tous les jours. (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
Mon départ vous exposerait peut-être à certaine passion, dont vous seriez moins maîtresse que de votre colère ; vous avez vos vues pendant mon absence ; vous voulez que je parte, et moi je ne veux plus partir. (Acte 5, scène 2, ANGÉLIQUE)
On peut plaire plus solidement par de certains mérites, où vous n'arriverez jamais. (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
Lez chevaux sont au Carrosse, partons, partons, vive la campagne, et plus d'amour. (Acte 5, scène 3, NÉRINE)
Je me suis trop déclarée ; la jalousie a rallumé plus d'amour que la colère n'en avait éteint. (Acte 5, scène 4, LA COMTESSE)
J'ignore le langage des Joueurs, mais je veux m'en instruire pour vous faire plaisir ; Angélique n'aurait pas tant de complaisance : je suis fâchée de vous apprendre qu'elle ne veut plus vous voir. (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
Votre exhortation de tantôt était plus sévère. (Acte 5, scène 5, LE CHEVALIER)
Vous pourriez concevoir des espérances plus solides, s'il était vrai que vous eussiez pour moi... (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
Prenons patience, Madame, quand la perte l'aura humilié, il nous traitera tous deux plus respectueusement. (Acte 5, scène 5, FRONTIN)
Si quelque revers de fortune que vous ne prévoyez pas vous redonnait de l'empressement pour le mariage, vous avez une ressource, j'ai remarqué dans la Comtesse des dispositions pour vous ; elle est beaucoup plus riche qu'Angélique. (Acte 5, scène 8, DORANTE)
Monsieur a raison, j'aimerais mieux tromper la plus riche. (Acte 5, scène 8, FRONTIN)
Vous devenez bien insultant dans la prospérité ; allez, tous vos procédés vous rendent indignes d'avoir des amis, et je vous déclare que je ne vous ménagerai pas plus que vous ménagez Angélique. (Acte 5, scène 8, DORANTE)
Il va regagner au plus vite, oui... (Acte 5, scène 2, FRONTIN)
Venez Dorante, venez m'aider à haïr le Chevalier autant qu'il le mérite, ne le ménagez plus, vous ne sauriez me plaire qu'en me parlant de son ingratitude. (Acte 5, scène 5, ANGÉLIQUE)
C'est pour le coup, Madame, qu'il achève de rompre entièrement avec le jeu, c'était pour regagner votre portrait ; et mâsse sans plus a-t-il dit, car on m'attend, de sans plus en sans plus, le combat s'est échauffé ; mon maître affaibli par l'ennemi, est étendu sur son canapé sans pouls, sans mouvement... (Acte 5, scène 6, FRONTIN)
Ma poitrine ; qu'heu, ma poitrine ; la vie m'est plus chère que l'argent, qu'heu, qu'heu. (Acte 5, scène 7, LE MARQUIS)
Non : je veux éviter sa présence ; peut-être qu'elle aurait assez de tendresse pour me pardonner, je ne mérite plus qu'elle me pardonne ; il faut que le désespoir... (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
Non, non, et plus j'examine votre proposition, plus ma délicatesse en est blessée. (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)

LE NÃ‰GLIGENT (1692)

Si l'Opéra se soutient encore dix ans, la contagion de la musique gagnera la masse du sang des Français : on ne parlera plus qu'en chantant, et l'on ne marchera dans les rues que par pirouettes, et par caprioles. (Acte 1, scène 1, FANCHON)
Si le chant devenait si commun, l'Opéra ne serait plus recherché. (Acte 1, scène 1, FANCHON)
Au contraire, si tout le monde parlait en chantant, l'Opéra deviendrait une chose naturelle ; et cela n'en serait pas plus mal. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
Fi, Monsieur, ce ne serait plus qu'une comédie. (Acte 1, scène 1, FANCHON)
Vous croyez donc qu'une comédie est plus parfaite en prose qu'en vers ? (Acte 1, scène 3, ORONTE)
Dont les gros traits marqués des plus vives couleurs, v.16 (Acte 1, scène 3, LE-POÈTE)
Au lieu qu'il faut fixer à présent sur les diminutifs de caractères, dont le comique est imperceptible au goût d'à présent, surtout au goût usé, qui n'est plus piqué que par des plaisanteries au gros sel, au poivre et au vinaigre. (Acte 1, scène 3, LE PO?TE)
Encore un coup, Monsieur, il y a plus de fous que jamais. (Acte 1, scène 3, ORONTE)
On ne voit plus de ces extravagances brillantes, dignes d'être copiées sur le Théâtre ; il faut quelque mérite au moins pour exceller en extravagances. (Acte 1, scène 3, LE-POÈTE)
Que faut-il davantage pour entretenir, des cavaliers qui pour la plupart ne savent parler d'autre chose que de la sève d'un vin de champagne, des trois dés ou du lansquenet, ou tout au plus du détail de leur Régiment. (Acte 1, scène 3, ORONTE)
L'amour n'a plus qu'une flèche, v.51 (Acte 1, scène 3, LE-POÈTE)
D'accord : mais on ne voit plus dans leurs intrigues, cette diversité qui fournissait des idées aux auteurs comiques ; autrefois, chaque belle avait son faible particulier. (Acte 1, scène 3, LE PO?TE)
C'est l'argent qui fait le noeud de l'intrigue, et le plus ou le moins, fait le dénouement. (Acte 1, scène 3, LE PO?TE)
Il est plus de deux heures. (Acte 1, scène 5, FANCHON)
Il y a plus d'un an que ce procès-là dure, il n'a pas encore vu son Procureur. (Acte 1, scène 5, FANCHON)
J'ai une soeur qui donne à jouer, plusieurs personnes me rendent visite. (Acte 1, scène 5, ORONTE)
Le vôtre, par exemple, est plus Théâtral ; si vous vouliez accepter trente pistoles pour feindre d'être amoureux de Bélise, afin de s'emparer de son esprit, et de ménager son consentement en faveur d'un jeune homme que j'ai pris en ma protection ; vous joueriez ainsi un des premiers personnages de votre comédie. (Acte 1, scène 5, FANCHON)
Je suis un poète né, mon enfant ; mais je n'ai fait le musicien que pour paraître plus extraordinaire, et m'insinuer par là plus aisément dans l'esprit de Monsieur Oronte. (Acte 1, scène 5, LE-POÈTE)
C'est celui de Bélise qu'il importe le plus de ménager. (Acte 1, scène 5, FANCHON)
Ça songeons à nous bien réjouir aujourd'hui, et surtout plus d'affaires, la vie est trop courte pour perdre du temps. (Acte 2, scène 1, ORONTE)
Je l'ai présenté à Madame votre soeur ; il est avec elle dans la salle, où il examine parmi un assez bon nombre d'originaux qui composent la compagnie, ceux qu'il croit les plus propres pour votre comédie. (Acte 2, scène 2, FANCHON)
Ma chère Fanchon, je suis le plus amoureux de tous les hommes. (Acte 2, scène 5, DORANTE)
Non, ma chère Fanchon, j'ai pour ta charmante Maîtresse, la passion la plus tendre, la plus pure, la plus violente... (Acte 2, scène 5, DORANTE)
Je ne puis plus souffrir son humeur, j'aime mieux aller dans un Couvent ; mais dans ce Couvent je ne verrai plus Dorante. (Acte 2, scène 8, ANGÉLIQUE)
Je ne sais ce que je dis ; je ne sais ce que je fais ; je ne comprends plus rien à tout ce que vous me dites. (Acte 2, scène 10, BÉLISE)
Ce gueux-là est à présent plus riche que moi. (Acte 2, scène 13, LE-MARQUIS)
Mais Monsieur Oronte n'est pas en état de donner ces deux cent mille livres à sa nièce ; il ne lui resterait plus de quoi vivre, et il faut considérer... (Acte 2, scène 14, L-INTENDANT)
J'y ai pourvu, je connais son faible ; un rien suffit pour le détourner des affaires les plus sérieuses, et je lui détache des curieux de plusieurs espèces, qui jusqu'à la fin du procès (quelque avis qu'on lui donne) l'empêcheront d'y faire attention. (Acte 2, scène 14, LE-MARQUIS)
Non vraiment, cela est du plus moderne. Écoutez, bon homme, il faut s'accommoder au temps, les dépenses sont grandes. (Acte 2, scène 15, LE-MARQUIS)
Ma foi, Monsieur, je n'ai plus guères le coeur au métier ; depuis que tout le monde se mêle de juger des ouvrages d'esprits, il y a trop à risquer. (Acte 3, scène 3, LE-POÈTE)
Le soleil n'eut jamais de plus vives clartés v.63 (Acte 3, scène 3, LE-POÈTE)
Monsieur Licandre, vous autres... entre vous autres, lequel estimez-vous le plus de Virgile ou d'Homère ? (Acte 3, scène 3, LE-MARQUIS)
Oh, joue donc pour moi, car je suis le plus malheureux coquin... (Acte 3, scène 6, LE-MARQUIS)
Aurais-tu pu t'imaginer que votre Marquis est le plus grand fourbe du monde ? (Acte 3, scène 10, DORANTE)
Plus par hasard que par mes soins, j'ai découvert quelques-unes de ses menées, et j'ai mis Lolive aux trousses de son Intendant, qui apparemment est en mouvement dans cette affaire, afin de tâcher à m'éclaircir mieux de certaines choses que ne fais que soupçonner. (Acte 3, scène 10, DORANTE)
Le voici le plus à propos du monde. (Acte 3, scène 11, FANCHON)
Monsieur, je viens de voir la plus belle porcelaine ! (Acte 3, scène 11, ORONTE)
Le plus beau bleu ! (Acte 3, scène 11, ORONTE)
Vous avez pourtant des affaires bien plus pressantes. (Acte 3, scène 11, DORANTE)
Oui, Monsieur, quand vous devriez me tuer, je ne puis m'empêcher de vous le dire, il faut être absolument fou, pour abandonner comme vous faites, le soin des affaires les plus importantes. (Acte 3, scène 12, FANCHON)
Le plus solide plaisir v.82 (Acte 3, scène 1, LE-POÈTE)
Il n'y a rien de plus vrai dans le fond, et personne n'en veut convenir. (Acte 3, scène 1, BÉLISE)
Je suis le plus heureux mortel... (Acte 3, scène 1, LE-POÈTE)
Hé, plût au ciel, qu'elles fussent déjà gagnées, et qu'il ne fût plus question que de les payer ! (Acte 3, scène 2, FANCHON)
Je l'ai laissé sous la table, il n'avait plus aucun signe de vie. (Acte 3, scène 4, LOLIVE)
Il a une apoplexie qui lui durera plus de vingt-quatre heures, et j'en suis un peu menacé, moi. (Acte 3, scène 4, LOLIVE)
Il n'y a rien de plus clair que ce que vous dites. (Acte 3, scène 6, DORANTE)
Oui, Princesse, vous voyez à vos pieds le Gentilhomme de France le plus tendre, le plus brûlant, le plus chaud, le plus... (Acte 3, scène 7, LE-MARQUIS)
Au moins c'est à condition que je n'entendrai parler ni de Notaire, ni d'Articles, ni de Contrat ; je ne veux plus avoir la tête rompue de toutes ces bagatelles, je ne me mêlerai que du ballet et des divertissements de la noce. (Acte 3, scène 13, ORONTE)

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L'ESPRIT DE CONTRADICTION (1700)

Je conviens que tu as plus d'imagination que moi, et plus de bon sens que bien des Philosophes qui n'en ont point. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
Tu me l'as fort bien dit , si ma fille veut être mariée, il ne faut pas qu'elle fasse, mine d'y penser, ni moi non plus. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
Je ne vous entends plus : dites-moi un peu, vous avez vu cette nouvelle mariée, qui va de porte en porte se faire applaudir du choix qu'elle a fait, écoutez-vous ses discours avec plaisir. (Acte 1, scène 4, MADAME ORONTE)
Mes raisons pour le mariage deviendraient les plus fortes ; car la raison du devoir me ferait oublier toutes les raisons contraires. (Acte 1, scène 4, ANGÉLIQUE)
Je n'y puis plus tenir. (Acte 1, scène 4, MADAME ORONTE)
On dira encore que j'aI tort ; cependant, c'est vous, oui, c'est votre esprit qu'on peut appeler vraiment un esprit de contradiction ; je ne puis plus vivre avec vous : une fille comme cela est un vrai fléau domestique, je veux m'en défaire absolument. (Acte 1, scène 4, MADAME ORONTE)
Je vous l'avoue, vos manières ont mis ma patience à bout ; je suis outré, non, je ne me possède plus, quand je pense que depuis le temps que je viens céans, ni mon amour, ni mon respect, ni mes prières, ni mes reproches, n'ont encore pu vous arracher une seule parole, sur quoi je puisse tabler... (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Quand je vous parle de la plus violente passion qui fut jamais, vous m'écoutez avec une tranquillité, une indolence incompréhensible : car enfin on témoigne aux gens ou de la reconnaissance ou du mépris, ou de la pitié, ou de la colère. (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
Vous devez juger que je suis prudente, et rien plus. (Acte 1, scène 6, ANGÉLIQUE)
Vous n'avez pas remarqué non plus que j'ai de l'aversion. (Acte 1, scène 6, ANGÉLIQUE)
Je sais modérer cette vivacité, par exemple au moment que je vous parle je me possède plus que vous ne pensez, et je vous jure qu'un mot d'éclaircissement, oui un seul mot de votre bouche va me rendre aussi tranquille que vous. (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Je ne les ignore plus, ingrate, et puisqu'il faut vous le dire, je viens d'apprendre céans que vous épousez aujourd'hui Monsieur Thibaudois. (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Si vous me trompez vous êtes la plus cruelle, la plus... (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Quin vla des bagues à mes doigts prends la plus grosse. (Acte 1, scène 8, THIBAUDOIS)
Mais, mais, mais , ni moi non plus ; car c'est une terrible femme que l'esprit de ta femme. (Acte 1, scène 9, THIBAUDOIS)
Parce qu'il est plus jeune, n'est-ce pas qu'il plairait davantage à ma fille ? (Acte 1, scène 11, MADAME ORONTE)
On m'a défendu de vous dire tout cela, et afin que vous ne me faisiez point parler malgré moi, je m'enfuis au plus vite. (Acte 1, scène 16, LE-LAQUAIS)
J'aime la paix, et l'union, je ferai ce qui vous fera le plus agréable. (Acte 1, scène 18, MADAME ORONTE)
Votre goût détermine le mien, et je ne pense plus à Monsieur Thibaudois. (Acte 1, scène 18, MADAME ORONTE)
Ses bons mots me touchent plus que toutes vos mines de désespéré. (Acte 1, scène 23, ANGÉLIQUE)
Hé, ni moi non plus ; je vais rejoindre ton père. (Acte 1, scène 23, THIBAUDOIS)
Je ne puis plus me contenir ; plus de ménagements, je vais trouver votre mère. (Acte 1, scène 25, VALÈRE)
Je suis trahi, Madame, car enfin , il n'est plus temps de vous cacher mon amour pour une ingrate, vous voyez comme elle me traite. (Acte 1, scène 26, VALÈRE)
Malgré vous, ma fille, ne vous souvient-il plus que vous n'avez point de volonté ? (Acte 1, scène 26, MADAME ORONTE)
Monsieur a plus de bien que vous n"en méritez. (Acte 1, scène 26, MADAME ORONTE)
Va va , je suis plus complaisant que toi, tu me chasses, je m'en vas. (Acte 1, scène 29, THIBAUDOIS)
Je suis ravie que vous soyez aussi contre Valère, il ne manquait plus que vous. (Acte 1, scène 30, MADAME ORONTE)

LA RÉCONCILIATION NORMANDE (1719)

Voulant, ne voulant plus, sans règle, sans conduite, v.28 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
On se fait plus de mal que l'on en fait aux autres. v.59 (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
Je le désire encor plus que je ne l'espère. v.120 (Acte 1, scène 3, ANGÉLIQUE)
De son coeur on ne peut au plus que se douter. v.129 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
Devient un peu plus gaie. v.161 (Acte 1, scène 4, ANGÉLIQUE)
Pour laquelle on plaidait ; j'y consens, plus de guerre. v.240 (Acte 1, scène 5, LA MARQUISE)
Vous ne plaiderez plus, et la nièce Angélique v.244 (Acte 1, scène 5, PYRANTE)
Si les tours les plus fins du langage normand v.289 (Acte 1, scène 8, FALAISE)
J'en ai l'air, je le suis, et j'avouerai de plus v.298 (Acte 1, scène 8, FALAISE)
Plus de digressions ; allons au fait. v.319 (Acte 1, scène 8, PYRANTE)
Manoeuvre plus obscure encore que le jargon. v.354 (Acte 1, scène 9, FALAISE)
Dorante, vous avez le plus adorable ami... v.411 (Acte 2, scène 2, ANGÉLIQUE)
En vous déshéritant plus sobrement qu'un autre : v.422 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Cette veuve a le sang plus que vindicatif. v.468 (Acte 2, scène 5, NÉRINE)
Que plus longtemps, encor secondant mes désirs v.495 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
Mais je dis au plus tôt. v.540 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
Je m'en charge, vous dis-je, et de plus je le dois. v.556 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
Ah ! C'est une rupture à n'y plus revenir. v.576 (Acte 2, scène 6, LA MARQUISE)
Ma nièce aura celui qui plus vous déplaira. v.579 (Acte 2, scène 6, LA MARQUISE)
Je la donne à celui qui plus vous haïra. v.580 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
Je ne l'aime plus. v.594 (Acte 2, scène 7, LA MARQUISE)
Y dure beaucoup plus que le goût d'un amant. v.603 (Acte 2, scène 7, NÉRINE)
C'est en passant qu'on aime, on hait plus constamment. v.604 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
Il est souvent trompeur ; la haine est plus sincère. v.610 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
Mais qui hait, est plus sûr d'être haï longtemps. v.616 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
Plus de réunion, a-t-il dit à Pyrante. v.629 (Acte 2, scène 8, DORANTE)
Je n'ai plus... v.649 (Acte 2, scène 9, NÉRINE)
Ils ne se verront plus, l'arbitre en désespère ; v.654 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Vous manque ici tout net ; vous n'êtes plus mari ; v.659 (Acte 2, scène 10, NÉRINE)
Femme moitié moins riche, aussi moitié plus sage, v.669 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Le plus cruel assaut... v.714 (Acte 3, scène 3, DORANTE)
Vous l'aimerez de plus j'en ai donné ma parole, v.717 (Acte 3, scène 3, NÉRINE)
Vous trouvez donc en moi plus que de la richesse ? v.746 (Acte 3, scène 4, LA MARQUISE)
Disons donc que rien n'est d'un plus heureux présage v.753 (Acte 3, scène 4, LA MARQUISE)
Vous n'êtes plus suspect d'intérêt, cher Dorante, v.789 (Acte 3, scène 4, LA MARQUISE)
Il nous faut même plus, et d'ailleurs nos amours... v.832 (Acte 3, scène 6, LE CHEVALIER)
Rendra plus convenable, v.842 (Acte 3, scène 6, LE CHEVALIER)
Plus égale entre nous l'union. v.843 (Acte 3, scène 6, LE CHEVALIER)
Et j'ai gagné cela sur moi plus d'à moitié, v.844 (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
Pour rendre plus aisé le noeud qui nous engage. v.845 (Acte 3, scène 6, LA MARQUISE)
Il est si bon ! Mais quoi ! Dorante est plus aimable, v.862 (Acte 3, scène 7, LA MARQUISE)
M'a dit qu'il ne peut pas durer plus de dix ans v.875 (Acte 3, scène 8, LA MARQUISE)
Un juge bien payé verra plus clair que moi. v.895 (Acte 3, scène 8, FALAISE)
Se le donner plus beau pour vexer l'ennemi. v.903 (Acte 3, scène 8, FALAISE)
Oh ! Ma jeune maîtresse est bien plus indiscrète. v.970 (Acte 3, scène 11, NÉRINE)
N'y pouvant plus tenir, car encore j'en tremble, v.1026 (Acte 4, scène 2, ANGÉLIQUE)
Fut-il jamais un amant plus à plaindre ? v.1053 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
De pouvoir être à vous je n'ai plus d'espérance, v.1057 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
Là les plus fins Manceaux admiraient sa conduite ; v.1132 (Acte 4, scène 3, NÉRINE)
Plus libéral encor que je ne suis charmant, v.1202 (Acte 4, scène 6, FALAISE)
En procès, comme au jeu, plus on mêle la carte, v.1248 (Acte 4, scène 7, FALAISE)
Et plus le gain devient légitime, loyal. v.1249 (Acte 4, scène 7, FALAISE)
Accorder un procès, est-il un plus grand mal ? v.1250 (Acte 4, scène 7, FALAISE)
Ah ! C'est trop ruser, plus d'artifice. v.1252 (Acte 4, scène 7, LE COMTE)
Il faut sans doute en prendre de plus sûres. v.1268 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
Oui, plus j'y pense, et plus ma colère s'augmente. v.1283 (Acte 5, scène 2, LE COMTE)
Il s'irrite encore plus. v.1288 (Acte 5, scène 2, ANGÉLIQUE)
Moins de remerciements, plus de discrétion, v.1310 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
Ta colère me fait respirer plus à l'aise, v.1351 (Acte 5, scène 5, FALAISE)
Je ne vois plus d'obstacle à cet accord heureux. v.1390 (Acte 5, scène 7, ANGÉLIQUE)
Mais le plus honnête homme eût été par vous deux v.1402 (Acte 5, scène 7, PYRANTE)
Plus de procès. Il reste à pouvoir Angélique, v.1423 (Acte 5, scène 9, LE COMTE)
Plus d'éclats. v.1433 (Acte 5, scène 9, LA MARQUISE)
J'eusse voulu pouvoir être un peu plus sincère : v.1471 (Acte 5, scène 11, DORANTE)
Brûlez d'un plus beau feu ; que ce coeur embrasé v.1498 (Acte 5, scène 12, FALAISE)

LE JALOUX HONTEUX (1708)

Je t'avouerai que j'ai plus de passion pour la succession, que pour l'héritière. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR ARGAN)
Peut-être parleriez-vous plus volontiers à mon rival. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR ARGAN)
Quand on a renoncé à l'amour, on est bien plus sensible à l'amitié. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Il m'aime, te dis-je ; car la première fois qu'il me vit chez cette tante entre deux âges, qui s'est accoutumée de jeunesse à plaire, et qui ne saurait s'accoutumer à croire qu'elle ne plaît plus. (Acte 1, scène 4, LUCIE)
Damis cherchait au Bal, à parler à une de vous deux ; savoir laquelle, c'est la question : soit que la ressemblance de nos habits l'ait trompé, ou qu'elle lui ait servi de prétexte pour me parler : le fait est qu'étant masquée, j'entendis à mes oreilles le déclaration d'amour la plus passionnée. (Acte 1, scène 5, LA PRÉSIDENTE)
Il n'est plus temps, Lisette ; car la nouvelle d'hier fait que Damis aurait aujourd'hui intérêt de m'épouser pour sa fortune. (Acte 1, scène 5, LUCIE)
Pardon, Madame, je ne prononcerai plus ce mot de Jaloux. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
En effet, rien n'est plus rare qu'un Jaloux qui a tort ; les femmes prennent tant de soin de fonder la jalousie de leurs maris ! (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Il est civil, honnête ; il ira au-devant d'un honnête homme ; il sera toujours avec lui, à lui faire voir sa femme, lui-même ; et il le reconduit tout le plus loin qu'il peut. (Acte 1, scène 9, THIBAUT)
Tout le plus loin qu'il peut ! (Acte 1, scène 9, DAMIS)
Oh je dis donc, que quand Hortence dit à Monsieur ceux qui sont venus, il ne l'écoute pas le plus souvent ; il n'y a que la naïveté d'Hortence, qui le réjouit là-dedans. (Acte 1, scène 9, THIBAUT)
Je vous prie de ne plus parler à mon Hortence, et de me la laisser tout comme elle est. (Acte 1, scène 9, THIBAUT)
Hé, laissons la plaisanterie : rien n'est plus facile, te dis-je, que de prouver ma tendresse à Lucie. (Acte 2, scène 1, DAMIS)
Prouvez au moins votre prudence, en sortant au plus vite. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Ce qui les rend plus_ou_moins croyables, c'est le plus_ou_moins de faiblesse de la femme qui les écoute. (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Cela sera bien plus joli, quand j'aurai le loisir ; mais à présent il faut que vous fassiez, ce que je vous prierai de faire pour mon Maître. (Acte 2, scène 4, FRONTIN)
Expliquez-moi cela encore un peu plus clairement ? (Acte 2, scène 4, FRONTIN)
Tenez, imaginez-vous, quand il est avec moi, et qu'il me prend la main, je n'y prends pas garde seulement : mais quand vous me l'avez prise hier, je l'ai retirée au plus vite ; car j'étais si troublée, que je ne savais pourquoi. (Acte 2, scène 4, HORTENCE)
Expliquez-moi cela encore un peu plus clairement. (Acte 2, scène 4, FRONTIN)
Que si j'avais le temps, vous m'expliqueriez cela encore un peu plus clairement ; mais répondez-moi, charmante Hortence, c'est vous qui reportez tout à Monsieur le Président ? (Acte 2, scène 4, FRONTIN)
Je vous le dis sans cesse, oui, de toutes les passions, la jalousie est celle qui me paraît la plus honteuse, et la plus déshonorante. (Acte 2, scène 6, LE PRÉSIDENT)
La fille la plus simple a de l'esprit de reste, pour conduire une intrigue. (Acte 2, scène 6, LE PRÉSIDENT)
Vous me dérangez mes tiroirs, mes boites ; vos mains sont plus souvent dans mes poches, que dans les vôtres ; où pourrais-je seulement cacher un billet ? (Acte 2, scène 6, LA PRÉSIDENTE)
Je ne veux plus vous tenir en suspens, Madame, il y a deux héritiers... (Acte 2, scène 7, LE PRÉSIDENT)
Pour satisfaire votre curiosité, Madame, je vous dirai que nos arbitres qui n'envisagent dans ce mariage que la solidité d'un accommodement, pour pacifier deux familles, penchent beaucoup pour le plus âgé des deux, qui est Monsieur Argan. (Acte 2, scène 7, LE PRÉSIDENT)
Non, Monsieur, rien ne peut plus m'obliger à voir du monde. (Acte 2, scène 7, LA PRÉSIDENTE)
Je n'en aurai pas même pour vous là-dessus ; et de plus Lucie se séparera de nous, dès qu'elle aura un mari. (Acte 2, scène 7, LA PRÉSIDENTE)
Mais, Monsieur, j'oubliais, que tout d'un coup après, comme je ne l'ai plus vu, je me suis douté qu'il s'était caché ici. (Acte 2, scène 9, THIBAUT)
Tâchons de faire affaire avec lui, et promptement, afin que Damis n'ait plus de prétexte pour venir ici. (Acte 2, scène 9, LE PRÉSIDENT)
Faites-lui sentir qu'on devine ses vues, il n'osera peut-être les suivre plus loin. (Acte 3, scène 2, LISETTE)
C'est vous qui me la feriez devenir : je n'y puis plus tenir, et je vous déclare en un mot, que s'il le faut absolument, Monsieur, je me sacrifierai à ma nécessité de ce mariage : mais vous me permettrez de m'en éclaircir moi-même. (Acte 3, scène 3, LUCIE)
Ne balançons plus : allons à Rennes prévenir les mesures que Lucie pourrait prendre. (Acte 3, scène 4, LE PRÉSIDENT)
Je ne veux plus rien savoir. (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
Hé bien, n'y a-t-il plus rien ? (Acte 3, scène 5, THIBAUT)
Tu enrages, et j'en suis ravie ; car mon plus grand plaisir est de faire enrager les jaloux. (Acte 4, scène 2, LISETTE)
Mais je crains pis encore ; c'est le ridicule, ce ridicule qui fait mépriser jusqu'aux vertueux, ce ridicule qui avilit plus un homme, que tous les vices. (Acte 4, scène 5, LE PRÉSIDENT)
Lisette est folle ; et vous êtes la plus étrange personne du monde... (Acte 4, scène 6, LE PRÉSIDENT)
Je n'y vois plus les morceaux... (Acte 4, scène 6, LA PRÉSIDENTE)
Vous nous trouvez Madame et moi dans la plus plaisante dispute ! (Acte 4, scène 8, LE PRÉSIDENT)
Est-il rien de plus plaisant ? (Acte 4, scène 8, LE PRÉSIDENT)
Peut-on avoir une vision plus risible ? (Acte 4, scène 8, LE PR?SIDENT)
Il ne serait plus temps demain, que je prisse des mesures. (Acte 4, scène 8, DAMIS)
Dans le moment que je sens pour Lucie, l'amour le plus tendre, l'ardeur la plus vive, me soupçonner !... (Acte 4, scène 8, DAMIS)
Non, la prévention la plus aveugle sera contrainte d'ouvrir les yeux. (Acte 4, scène 8, DAMIS)
Oh pour cela, non : plus je suis persuadé de la violence de votre passion, et moins je dois l'exposer à vous voir, avant que d'être sûr de votre mariage. (Acte 4, scène 8, LE PRÉSIDENT)
Je n'ai plus rien à ménager ; je vais de ce pas à Rennes tenter toutes les voies..., je suis au désespoir. (Acte 4, scène 8, DAMIS)
Oui, voilà le scélérat le plus pathétique, le plus séduisant... (Acte 4, scène 9, LE PRÉSIDENT)
Hé bien, je lui commanderai de n'être plus jaloux. (Acte 5, scène 1, THIBAUT)
Il est rétif, il faut un coup d'éperon plus fort ; baisons la joue. (Acte 5, scène 3, FRONTIN)
Écoutez-moi, j'imagine un moyen d'éprouver Damis bien plus sûrement. (Acte 5, scène 5, LISETTE)
J'avais tantôt quelque confiance ; je trouvais des raisons pour me flatter d'être aimée : mais plus l'éclaircissement approche, plus je crains. (Acte 5, scène 6, LUCIE)
Rien ne peut plus troubler ce bonheur, que la jalousie cruelle de Monsieur le Président... (Acte 5, scène 8, DAMIS)
Je vous déclare moi, que je n'en aurai plus. (Acte 5, scène 8, DAMIS)
Non, je ne le ménagerai plus ; et pourvu que vous me permettiez... (Acte 5, scène 8, DAMIS)
Oui, je veux l'ôter à Thibaut, afin qu'il n'y ait plus chez moi de mari jaloux. (Acte 5, scène 9, LE PRÉSIDENT)

LES ADIEUX DES OFFICIERS (1693)

Hélas, je suis bien plus à plaindre que vous ! (Acte 1, scène 1, VÉNUS)
C'est le plus grand maraud ! (Acte 1, scène 2, VULCAIN)
Pour le présent, le plus sûr est de travailler comme si de rien n'était. (Acte 1, scène 2, VULCAIN)
Moutonnet, mignon, tu fais plus de bruit aujourd'hui qu'à l'ordinaire. (Acte 1, scène 2, VÉNUS)
Mon petit fils, frappe donc plus doucement, si tu veux épargner ma tête. (Acte 1, scène 2, VÉNUS)
Les baguettes qui ne font que chercher l'or sont contrefaites, les véritables l'attirent ; et j'en connais une qui en trois mois a fait venir plus de vingt mille écus à l'hôtel de Bourgogne. (Acte 1, scène 2, VULCAIN)
Je ne verrai donc plus auprès de moi, que ce magot ? (Acte 1, scène 2, VÉNUS)
Ma foi, monsieur Mars, un plumet comme vous décrie plus une femme en huit jours d'été, que tous ces messieurs-là en tout un hiver. (Acte 1, scène 2, VULCAIN)
Mais baste, un peu d'honneur plus_ou_moins dans une famille, cela ne vaut pas la peine de se brouiller avec un ami tel que vous. (Acte 1, scène 2, VULCAIN)
Le plus pressé de ma besogne c'est de le faire partir promptement. Songez seulement aux soins de votre ménage ; et pendant mon absence, mettez la paix entre vos deux enfants, qui se mangent le blanc des yeux ensemble. (Acte 1, scène 2, VULCAIN)
Il conduit les amants par le plus court chemin. v.85 (Acte 1, scène 3, CUPIDON)
Vous savez que les miens ne servent plus de rien. v.88 (Acte 1, scène 3, CUPIDON)
J'embrase plus de coeur avecque ma bouteille, v.118 (Acte 1, scène 4, CUPIDON)
Oh, vous êtes un peu plus aimable sous cette figure : mais si vous voulez me plaire vous vous rendrez encore plus palpable. (Acte 1, scène 5, VÉNUS)
Je serais contente de votre complaisance, si vous vouliez bien parler, et me faire part de cette douce éloquence que les sourds entendent, qui fait parler les muets, et soupirer les plus cruelles. (Acte 1, scène 5, V?NUS)
On ne peut rien de plus galant que cette manière de s'exprimer : mais je sais que vous êtes le premier homme du monde pour soutenir une conversation suivie... (Acte 1, scène 5, V?NUS)
Et qu'on ne se lasse jamais de vous entendre parler : et j'ai appris d'un historien moderne, que vous écrivez des billets plus doux, plus persuasifs, et plus touchants que ceux de Voiture. (Acte 1, scène 5, V?NUS)
Ne sais-tu pas que c'est une dupe qui paye d'avance, et qui achète, au prix des plus grandes faveurs, quelques minauderies coquettes qui ne tirent pas à conséquence ? (Acte 1, scène 6, VÉNUS)
Plus il prouve l'offense, v.159 (Acte 1, scène 8, MOMUS)
Plus il a tort, il a tort, il a tort, il a tort. v.160 (Acte 1, scène 8, MOMUS)
Monsieur Momus, ne venez pas ici, par vos fades plaisanteries, troubler la gravité de nos juges, elle fait plus de la moitié de leur science. (Acte 1, scène 8, VULCAIN)
Car pour avoir un arrêt contre ma femme, je n'ai que faire de venir ici, le public en prononcera plus que je ne voudrais. (Acte 1, scène 8, VULCAIN)
La plus grande consolation qu'on puisse donner à un mari affligé, c'est l'abondance des biens dans sa maison. (Acte 1, scène 8, JUPITER)
Rien n'est plus souverain pour un mari jaloux v.191 (Acte 1, scène 8, L-OCÉAN)
Le plus brillant des bijoux. v.212 (Acte 1, scène 8, DIANE)
Mon empire serait bien plus grand que le tien. v.245 (Acte 1, scène 8, VULCAIN)
Sont beaucoup plus lourds à supporter, v.268 (Acte 1, scène 8, JUPITER)
Tu seras plus fort pour le porter. v.270 (Acte 1, scène 8, JUPITER)

LE MARIAGE FAIT ET ROMPU (1721)

C'est la plus belle, enfin, de mon hôtellerie. v.28 (Acte 1, scène 2, L'HÔTESSE)
Est-il rien plus cruel ? Non.... v.29 (Acte 1, scène 2, VALÈRE)
N'hésitez plus, monsieur, car pour vous parler net, v.53 (Acte 1, scène 2, L'HÔTESSE)
De lui, plus qu'elle encore, aussitôt je dis rage : v.64 (Acte 1, scène 2, L'HÔTESSE)
Vous seriez indiscret, vous seul, plus qu'elles deux. v.82 (Acte 1, scène 2, L'HÔTESSE)
Mais un Président fait comme ils ne sont plus faits v.94 (Acte 1, scène 2, L'HÔTESSE)
Que je ferai trembler... Je n'en dirai pas plus. v.122 (Acte 1, scène 2, L'HÔTESSE)
Sa vertu cependant est bien plus jeune qu'elle. v.127 (Acte 1, scène 2, L'H?TESSE)
Monsieur de Glacignac est plus habile qu'eux. v.170 (Acte 1, scène 5, LA-VEUVE)
Non, je n'ai plus d'époux, je puis revoir Valère. v.172 (Acte 1, scène 5, LA-VEUVE)
Plus je vois cet époux, plus je suis à la gêne : v.175 (Acte 1, scène 5, LA-VEUVE)
Mais soyez donc plus sage : v.243 (Acte 1, scène 7, LA PRÉSIDENTE)
Ces folâtres discours ne sont plus de votre âge. v.244 (Acte 1, scène 7, LA PR?SIDENTE)
Mêlez à votre joie un peu plus de raison ; v.245 (Acte 1, scène 7, LA PR?SIDENTE)
On vient de m'excéder, je n'y puis plus tenir : v.249 (Acte 1, scène 8, LE NOTAIRE)
Véridique dé plus. Si vous avez des yeux, v.294 (Acte 1, scène 9, GLACIGNAC)
Allons nous renfermer, je ne puis plus paraître. v.327 (Acte 1, scène 10, LA-VEUVE)
De ce que je suis ; mais au plus vite partons. v.349 (Acte 1, scène 12, LA PRÉSIDENTE)
Je descends et je cours vers les plus empressés, v.445 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
Je l'avais vu, morbleu, plus craint que le tonnerre. v.464 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
Ne t'expose donc plus à cette populace. v.472 (Acte 2, scène 2, L'HÔTESSE)
Vous, je vais vous instruire un peu plus amplement. v.478 (Acte 2, scène 2, L'HÔTESSE)
Mes yeux dé plus en plus mé confirment qu'il a v.486 (Acte 2, scène 3, GLACIGNAC)
Et prêterai de plus, je suis toujours le même. v.527 (Acte 2, scène 3, DAMIS)
On en a plus de plaisir après. v.570 (Acte 2, scène 5, L'HÔTESSE)
Ce n'est point le défunt, ni prenez plus le change. v.572 (Acte 2, scène 5, L'HÔTESSE)
Je n'y puis plus tenir. v.617 (Acte 2, scène 6, LA-VEUVE)
Le voilà plus tranquille ; v.620 (Acte 2, scène 7, LE-PRÉSIDENT)
Du moins, si je mourrais, n'ira plus à ce sot, v.666 (Acte 2, scène 7, DAMIS)
Suivant exactement les lois les plus sévères. v.679 (Acte 2, scène 8, LE-PRÉSIDENT)
Qui devint le plus grand de tous mes ennemis, v.710 (Acte 2, scène 10, LA PRÉSIDENTE)
Le parti que je prends est le plus sûr, je crois. v.714 (Acte 2, scène 10, LA PR?SIDENTE)
Si c'est lui, livrons tout, il n'y faut plus songer; v.717 (Acte 2, scène 10, LA PR?SIDENTE)
Mais au moindre revers je ne m'y fierais plus. v.725 (Acte 3, scène 1, DAMIS)
Jamais femme n'a fait questions plus sensées, v.775 (Acte 3, scène 2, DAMIS)
Plus précises surtout, ni moins embarrassées... v.776 (Acte 3, scène 2, DAMIS)
J'y pourrais mettre encor plus de précision. v.777 (Acte 3, scène 2, LA PRÉSIDENTE)
Que le plan d'un cerveau n'est pas plus grand que rien. v.790 (Acte 3, scène 2, DAMIS)
Il ne sera plus temps peut-être... on me regarde... v.876 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
Rendra le coup plus vif, plus fort et plus pressant. v.878 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
Par la plus pénétrante et la plus équitable, v.887 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
Par la plus vertueuse et la plus respectable... v.888 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
Sur lequel j'ai reçu plusieurs lettres de vous ? v.893 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
Mais à présent... ma foi, je ne suis pas plus sage. v.908 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
J'en puis encor montrer d'autres plus éloquents, v.935 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
Bien plus forts en morale, en un mot convaincants. v.936 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
Oui, plus je l'examine avec attention, v.951 (Acte 3, scène 4, LA PRÉSIDENTE)
Plus je vois mon erreur, mon indiscrétion. v.952 (Acte 3, scène 4, LA PR?SIDENTE)
Je ne risque plus rien. v.980 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
Non ; je ne suis plus changeant. v.1000 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
Servez-le, votre honneur vous est plus cher qu'un frère; v.1002 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
Je ne me mêle plus de rien ; c'est son époux v.1007 (Acte 3, scène 6, LE-PRÉSIDENT)
On est beaucoup plus sûr. v.1024 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
Ah ! Je n'ai plus de peur. v.1028 (Acte 3, scène 8, VALÈRE)

LE FAUX INSTINCT (1707)

Je sais bien quoi, moi ; je me suis douté que ce lieu-ci vous inspirerait ce que tous les lieux et tous les objets vous inspirent également depuis quelques jours ; hier en regardant par vos fenêtres dans la rue la plus passante de Paris, le bruit des carrosses, et le tintamare de la ville vous inspiraient une douce et tendre rêverie, comme la solitude la plus tranquille : c'est que tout inspire l'amour quand on aime, vous vous imaginiez voir Valère dans tous les carrosses qui passaient, et vous croirez voir Valère au pied de tous les arbres que vous allez trouver dans ce bois. (Acte 1, scène 1, TOINETTE)
Vous avez l'un et l'autre plus d'amour que de richesses, je vois entre vous et une convenance malheureuse : car vous étiez héritière d'un vieil oncle, Valère était heritier d'une tante veuve, votre oncle se remarie, sa tante se remarie aussi, et il leur vient à chacun une petite fille qui vous deshérite tous deux : votre visionnaire d'oncle appellerait cela, une fatalité d'étoile, cela me ferait croire comme aux conjonctions d'astres, un vieillard épouse une jeune femme, une vieille veuve épouse un jeune homme, vous voudriez épouser Valère ? (Acte 1, scène 1, TOINETTE)
Je ne le verrai plus Toinette, et quand j'ai su qu'il était parti pour Lyon, je te jure que j'en ai eu... une espèce de joie. (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
C'en est fait, je ne veux plus parler de lui. (Acte 1, scène 1, ANGÉLIQUE)
L'amour n'y perdra rien, plus vous refermerez en dedans l'idée de Valère, plus elle se fortifiera, et à force de rêver à lui, sans parler, son image se gravera si fortement... (Acte 1, scène 1, TOINETTE)
Ha ha, vous avez raison, sans doute il a résolu aussi de ne plus parler de vous, car il y rêve fortement. (Acte 1, scène 1, TOINETTE)
J'ai pris une chaise de poste pour venir attendre ici ma tante qui vient avec eux ; en les attendant, Mademoiselle, je m'étais enfoncé dans ce bois solitaire pour y rêver en liberté, tout occupé d'une passion la plus tendre, la plus vive... mais, Mademoiselle, je m'aperçois que mon récit vous ennuie. (Acte 1, scène 2, VALÈRE)
Oui, mais si vous parlez de vôtre mie Toinetre à votre autre mie, elles ne vous donneront plus rien ni l'eune ni l'autre, ni l'eune ni l'autre ne vous donneront rien, je vous l'ai déjà dit. (Acte 1, scène 6, LA NOURRICE)
Ho je vous défends de jamais parler de tout cela, mais voilà cette autre mie, il faut la renvoyer avant que votre mie Toinette vienne, souvenez-vous bien que si celle-ci savait que vous avez une autre mie, elle ne vous donnerait plus rien. (Acte 1, scène 6, LA NOURRICE)
Le pauvre homme je l'avais élevé comme vous élevez sa petite fille, hélas, quand il partît pout le Languedoc, il croyait revenir six mois après, il y a demeuré quatre ans et le voilà mort ; mais n'en parlons plus, cela m'afflige trop. (Acte 1, scène 7, LA MIE)
Allez vite, car notre veuve doit arriver ce soir à Paris, il faut que je m'y en retourne au plus vite. (Acte 1, scène 7, LA MIE)
Ce n'est pas le premier enfant qu'on fait entretenir à plusieurs pères. (Acte 1, scène 11, TOINETTE)
En conscience je n'en sais rien, ni la Nourrice non plus. (Acte 1, scène 12, LE NOURRICIER)
Attends, il faut que ce soit ta femme ; elle donnera mieux le ton à cette nouvelle affligeante, une femme a la feinte et les larmes plus en main, qu'un homme. (Acte 2, scène 1, TOINETTE)
Rien n'est plus ordinaire ; mais ce qui est singulier, c'est qu'à Huilant qu'il meure une personne dans le monde, tous ceux qui sont nés sous la même planète, sentent quelque chose, on n'y fait pas d'attention, parce que cela est imperceptible, mais cela est pourtant vrai. (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
Plus que visible, palpable ; car on vient de vous dire ici, que nos deux petites filles sont dans ce Château où nous venons de passer. (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
Les entrailles maternelles sont plus sensibles. (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
Vous n'avez plus d'enfants tous deux. (Acte 2, scène 4, LA-NOURICE)
Ça voila donc nôtre vieillard persuadé qu'il n'a plus d'enfant, il faut tirer secrètement de l'argent de la veuve comme je t'ai dit. (Acte 2, scène 5, TOINETTE)
Toinette, je te cherchais pour me réjouir avec toi en liberté, ma joie n'est point intéressée, et c'est le plaisir seul de voir Valère espérer de grands biens, j'en espère encore de plus grands, et je puis à présent aimer Valère sans crainte. (Acte 2, scène 7, ANGÉLIQUE)
Ah, je vous impose silence aussi bien qu'à elle, je n'aime point à entendre dire des choses qu'on ne pense point, et pour vous dire en un mot mes sentiments, je me console contre mes propres intérêts de n'avoir plus d'enfant, puisque cela peut faire le bonheur d'Angélique que j'aime. (Acte 2, scène 9, LA FEMME DU VIEILLARD)
Vos deux petites filles l'eurent qu'on les défigurait l'eune d'avec l'autre, car notre étourdie de servante en les remuant, les broullit toutes deux sans s'en apercevoir, tantia qu'il en mourut eune, ma femme quand ale revit claire ne vit plus sur le visage de l'autre les étiquettes de la ressemblance, pour voir laquelle c'était, et vous même qui ne les avez jamais vues, vous n'y verais goûte non plus. (Acte 2, scène 13, LE NOURRICIER)
Monsieur a raison, n'y a-t-il pas des tireurs d'horoscope, s'ils disent que la petite fille n'a plus de père, c'est la mienne, cela est clair. (Acte 2, scène 14, LA VEUVE)
Il faudrait des preuves plus sérieuses et plus certaines pour une décision ce cette importance. (Acte 2, scène 14, LA FEMME DU VIEILLARD)
Je conviendrai avec vous qu'il y a plus de plaisir à tout donner, mais il y a peut-être plus de délicatesse, à vouloir bien devoir tout à ce qu'on aime. (Acte 3, scène 1, VALÈRE)
Vos délicatesses m'ennuient, vous avez l'un pour l'autre de petits sentiments délicats, minces, on voit le coeur à travers, raisonnons un peu plus solidement. (Acte 3, scène 1, TOINETTE)
Écoutez-moi, l'aventure d'aujourd'hui vous donne occasion d'accorder ensemble la bagatelle et le solide, vous ignorez encore qui de vous deux sera le plus riche, votre sort dépend de ce qui sera décidé sur la petite fille, en attendant la décision vous jouez gros jeu, mais vous avez jeu égal, composez, et promettez-vous l'un à l'autre, que celui de vous deux qui aura une succession, la partagera avec ce qu'il aime, quelque chose qui arrive vous n'aurez lien à vous reprocher. (Acte 3, scène 1, TOINETTE)
N'en parlons plus ma femme, je veux bien tout oublier, je vous pardonne. (Acte 3, scène 3, LE VIEILLARD)
Enfin vous me dites que cela n'est pas vrai, cependant mon songe m'a dit le contraire, et les songes sont plus vrais que les femmes, et ils trompent moins. (Acte 3, scène 3, LE VIEILLARD)
Ce qui est dit est dit, celle des deux mères que la petite fille reconnaîtra pour sa mère, la sera réellement, et il n'y a rien de plus sûr. (Acte 3, scène 4, LE VIEILLARD)
Ah Toinette je suis désolée de toutes les manières, voilà mon oncle entêté d'une jalousie si violente, qu'il veut absolument se séparer d'avec sa femme, elle est outrée de désespoir, elle appris mes intérêts avec tant de générosité, que je suis touchée de son malheur, autant qu'elle même, mon oncle est un homme à ne revenir jamais de ses soupçons, ah ma pauvre Toinette il ne reviendra jamais, non plus que de la haine qu'il a conçue contre Valère. (Acte 3, scène 11, ANGÉLIQUE)
Il faut les marier au plus vite, afin qu'ils accomplissent le rêve de Monsieur. (Acte 3, scène 13, TOINETTE)

LE FAUX SINCÈRE (1731)

Toujours même gaîté, mais un peu plus d'amour. v.2 (Acte 1, scène 1, MARIANE)
Au contraire, plus j'aime, et moins j'ai de tristesse : v.7 (Acte 1, scène 1, MARIANE)
Ne m'embarrasse plus, ma soeur s'en est chargée. v.95 (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
Rien n'est plus naturel que cet arrangement. v.97 (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
Il quitte le commerce, il ne veut plus de foins, v.129 (Acte 1, scène 2, MARIANE)
Vous ne connaissez pas l'homme le plus joli, v.153 (Acte 1, scène 3, MADAME ARGANT)
Plus que personne il a plus... de ce qu'on admire, v.172 (Acte 1, scène 3, MADAME ARGANT)
Plus... v.173 (Acte 1, scène 3, MADAME ARGANT)
Et c'est ce qu'il a de trop que ce plus là ; v.173 (Acte 1, scène 3, MARIANE)
Si j'étais plus jeune ah !... pour lui j'aurais des yeux. v.177 (Acte 1, scène 3, MADAME ARGANT)
Oh je n'en parle plus ; monsieur Franchard pour toi. v.194 (Acte 1, scène 3, MADAME ARGANT)
À plusieurs commerçants donne longue audience. v.199 (Acte 1, scène 4, LAURETTE)
Monsieur Franchard dit tout, même plus qu'il ne pense, v.220 (Acte 1, scène 5, LAURETTE)
T'a-t-il jamais paru plus tendre qu'aujourd'hui ? v.238 (Acte 1, scène 5, LA MARQUISE)
Plus tendre ? Ah je le crois, et le serait peut-être v.239 (Acte 1, scène 5, LAURETTE)
Et d'autant plus suspect. Vous voyant raisonnable v.255 (Acte 1, scène 5, LAURETTE)
Comme je ne suis plus dans la grande jeunesse, v.259 (Acte 1, scène 5, LA MARQUISE)
Je dis ce que je sens, rien plus. v.318 (Acte 1, scène 6, LE-CHEVALIER)
Font plus d'impression encor que la beauté. v.321 (Acte 1, scène 6, LE-CHEVALIER)
Je n'écoute plus rien, monsieur le babillard, v.367 (Acte 2, scène 1, UN-COMMIS)
Monsieur Franchard apporte ici plusieurs dépôts : v.380 (Acte 2, scène 1, RAPIN)
Encor. Oh ! Parsembleu plus d'argent pour personne, v.397 (Acte 2, scène 2, UN-COMMIS)
Sont-ils oubliés ? Quoi ! Plus d'affabilité ! v.408 (Acte 2, scène 3, LAURETTE)
Que vous dit-on de plus ? v.521 (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
De plus j'ai deviné la fille par la mère. v.530 (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
Je ne brille plus, mais voyant briller ma fille, v.541 (Acte 2, scène 5, MADAME ARGANT)
On ne peut plus juger du mérite solide : v.554 (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
Tenue entre mes bras, et puis plus grande ensuite, v.610 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR-FRANCHARD)
Ma foi le plus souvent je n'y regarde pas. v.620 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR-FRANCHARD)
Les yeux plus_ou_moins grands, la bouche plaie ou ronde, v.621 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR FRANCHARD)
La raison j'en conviens est bien plus désirable. v.625 (Acte 2, scène 7, LE-CHEVALIER)
Puisqu'il veut Mariane, il n'y faut plus songer ; v.635 (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
Plus que tous les portraits que j'ai pu vous en faire. v.657 (Acte 2, scène 10, MADAME ARGANT)
Plus gracieux, plus beau que l'objet en idée, v.665 (Acte 2, scène 10, LE-CHEVALIER)
En les examinant, plus beaux, oui plus parfaits v.680 (Acte 2, scène 10, LE-CHEVALIER)
Je suis bien plus surpris, madame, quand je vois... v.691 (Acte 2, scène 10, LE-CHEVALIER)
Entre Angélique et vous bien plus de ressemblance ? v.694 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
Ou vous croyez ma soeur à gagner plus facile, v.710 (Acte 2, scène 10, MARIANE)
J'aime mieux plus de fiel, et qu'il soit moins caché. v.727 (Acte 2, scène 10, LE-CHEVALIER)
La froideur saisirait l'ami le plus intime ; v.788 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
Je ne veux plus le voir, il m'est trop odieux. v.841 (Acte 3, scène 3, ANGÉLIQUE)
Après m'avoir juré l'amour le plus ardent, v.877 (Acte 3, scène 3, ANGÉLIQUE)
Le plus vif, le plus tendre, et le plus violent, v.878 (Acte 3, scène 3, ANG?LIQUE)
J'ai promis de l'estime, et rien plus ; qu'on le dise. v.896 (Acte 3, scène 3, LE-CHEVALIER)
Il ne vous en paraît à vous que plus aimable ; v.904 (Acte 3, scène 3, LA MARQUISE)
Sa franchise a paru plus brillante en ce jour. v.921 (Acte 3, scène 5, ANGÉLIQUE)
C'est là notre roman ; mais plus modestement v.973 (Acte 3, scène 7, RAPIN)
Je n'y connais plus rien ; qu'est-ce tout ceci ? v.998 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR-FRANCHARD)
Vous ne dites plus mot, vous ? v.1025 (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-FRANCHARD)
D'accord, un esprit lent plus sûrement décide, v.1048 (Acte 3, scène 8, LE-CHEVALIER)
Une âme sans amour a plus de fermeté, v.1065 (Acte 3, scène 8, LE-CHEVALIER)
Plus que personne bon, je m'en vante, morbleu. v.1073 (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-FRANCHARD)
Plus de Dorante donc, finissons au plus tôt. v.1089 (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-FRANCHARD)
À nos filles, pour vous, je ne vois plus de place. v.1116 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR-FRANCHARD)
Beaucoup plus simple encor, un seul mot suffira. v.1125 (Acte 4, scène 1, DORANTE)
D'être vrai là-dessus le plus franc se dispense, v.1147 (Acte 4, scène 2, LE-CHEVALIER)
Des terres en décret, dont je ne suis plus maître, v.1163 (Acte 4, scène 2, LE-CHEVALIER)
Ne pouvant rien risquer non plus près de ma mère... v.1172 (Acte 4, scène 2, MARIANE)
Oui ; mais après cela je ne veux plus attendre. v.1180 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR-FRANCHARD)
De croire mon amour plus_ou_moins fort qu'il n'est. v.1225 (Acte 4, scène 6, LE-CHEVALIER)
Mais... de ne la plus voir. v.1265 (Acte 4, scène 6, LA MARQUISE)
À la raison qui prend le plus riche parti. v.1282 (Acte 4, scène 6, LA MARQUISE)
Je ne vois plus qu'en vous que feinte et politique, v.1287 (Acte 4, scène 6, LA MARQUISE)
Voyons-le de plus près. v.1311 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
Quoique notre nom brille, il a plus d'une face. v.1323 (Acte 4, scène 8, RAPIN)
Plus que tantôt saisi, mon trouble recommence. v.1332 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
Plus je vous envisage, et plus je sens en moi... v.1333 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
Moi je suis plus discret, et mon sang-froid redouble v.1339 (Acte 4, scène 8, RAPIN)
M'invite à t'inspirer de plus vrais sentiments. v.1366 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
Que l'instinct pour l'argent est le plus naturel, v.1373 (Acte 4, scène 8, RAPIN)
Plus fort que fraternel, paternel, maternel : v.1374 (Acte 4, scène 8, RAPIN)
Valère tout haut, et plus bas, cousin Rapin. v.1397 (Acte 4, scène 8, RAPIN)
Vous seul, quand vous parlez, je vous crois plus que tous. v.1402 (Acte 4, scène 9, MADAME ARGANT)
Çà plus d'obstacles donc ; venez là-dedans dire v.1412 (Acte 4, scène 9, MADAME ARGANT)
Qu'on a calomnié l'homme le plus charmant. v.1414 (Acte 4, scène 9, MADAME ARGANT)
La Marquise plus tendre et plus vive... v.1439 (Acte 5, scène 2, RAPIN)
Pour les femmes n'ont plus de tels ménagements. v.1468 (Acte 5, scène 2, ANGÉLIQUE)
Mais plus les biens sont chers ; et plus l'on sacrifie v.1478 (Acte 5, scène 2, ANGÉLIQUE)
Sacrifice héroïque, et plus grand qu'on ne pense ! v.1481 (Acte 5, scène 2, RAPIN)
Il le dit Valère, et de plus son cousin. v.1507 (Acte 5, scène 3, MARIANE)
Et las de ces détails ne veut plus de délais. v.1511 (Acte 5, scène 3, MARIANE)
Je vois pour mon malheur qu'on ne peut plus surseoir. v.1515 (Acte 5, scène 3, DORANTE)
Votre raison de plus pour toujours revenue, v.1518 (Acte 5, scène 4, LAURETTE)
Toucher cent mille écus, et n'avoir plus d'amour. v.1520 (Acte 5, scène 4, LAURETTE)
Mon nom n'est plus Rapin, souviens-toi de cela. v.1568 (Acte 5, scène 7, RAPIN)
Que les plus nobles hommes. v.1634 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
Premièrement l'usage à plus d'un Officier v.1643 (Acte 5, scène 9, LE-CHEVALIER)
Les plus honnête gens se donnent du relief, v.1651 (Acte 5, scène 9, LE-CHEVALIER)
Car je rends, quand je veux, son esprit plus pliant... v.1663 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
Prenez un ton plus doux. v.1674 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
Tu n'auras plus d'amour sitôt que tu m'auras. v.1768 (Acte 5, scène 13, MONSIEUR-FRANCHARD)
Caractère très rare et bien plus singulier, v.1771 (Acte 5, scène 13, LAURETTE)
Au lieu que les plus francs dans le siècle où nous sommes, v.1778 (Acte 5, scène 13, LAURETTE)
Car les plus gens de bien pour être impénétrables, v.1782 (Acte 5, scène 13, LAURETTE)

LE FAUX HONNÃŠTE HOMME (1703)

Cet homme-là est le plus homme d'honneur. (Acte 1, scène 1, LA-VEUVE)
Sa probité est bien bâtie, bien sur ses jambes : je ne m'étonne plus que vous n'ayez en lui une confiance aveugle, l'amour joint à votre opiniâtreté naturelle, ô que cela va faire un bel entêtement. (Acte 1, scène 1, FROSINE)
C'est toi qui es une opiniâtre ; car comment peux-tu connaître Monsieur Ariste, toi qui n'es ici que depuis huit jours, ni ma nièce non plus ? (Acte 1, scène 1, LA-VEUVE)
Ma nièce n'a nulle envie d'être mariée ; et ce matin encore elle m'a dit les plus belles morales du monde sur son inclination pour la retraite. (Acte 1, scène 1, LA-VEUVE)
Enfin Mademoiselle, voilà Monsieur Ariste héritier unique de votre oncle, vous n'avez plus nulle espérance, rien ne vous retient plus à Paris, grâces au Ciel : savez-vous que ce dernier malheur est une espèce de bonheur pour vous et moi qui voulons haïr le monde ? (Acte 1, scène 3, FROSINE)
Oh nous n'en pouvons plus espérer. (Acte 1, scène 3, FROSINE)
Nos résolutions sont prises, n'en parlons plus. (Acte 1, scène 3, ANGÉLIQUE)
Ô c'est le plus aimable brutal que j'aie jamais connu. (Acte 1, scène 3, FROSINE)
La Marquise est une réjouie, une folle qui n'aime qu'à rire, une babillarde qui ne vous parlerait que du plaisir qu'elle a de marier son fils... Vous ne devez plus penser qu'à partir. (Acte 1, scène 5, FROSINE)
Frosine s'est aperçue de ma passion, Valère s'en apercevrait encore plus tôt, je ne dois point le voir. (Acte 1, scène 5, ANGÉLIQUE)
Par exemple : un mari est plus qu'un oncle, je me suis pourtant consolée d'être veuve ; il n'y a que manière d'envisager les choses. (Acte 1, scène 6, LA-MARQUISE)
Je n'ose l'avouer à ma mère ; car celle que j'aime ne peut plus espérer d'être riche, et ma mère ne connaît d'autre mérite que celui des richesses ; elle n'aurait nul égard au plus sincère amour, à l'ardeur la plus tendre, à la plus violente passion. (Acte 1, scène 8, VALÈRE)
Que deviendrais-je, si j'étais condamné à ne plus voir cette beauté charmante ? (Acte 1, scène 8, VALÈRE)
À ne plus voir ces yeux, cette bouche... (Acte 1, scène 8, VAL?RE)
Vous vous troublez ; et ce n'est pas moi qui... Mais je ne puis plus l'ignorer. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Vous serez plus heureux avec une personne riche, et puisque ma fortune... (Acte 1, scène 8, ANG?LIQUE)
Mais pensons au plus pressé : et pour gagner la confiance du Capitaine, faisons ce que je viens de lui promettre. (Acte 1, scène 10, FROSINE)
Je n'apprendrai jamais à être honnête homme, cela est trop difficile : je croyais d'abord que pour être honnête homme, il n'y avait qu'aller tout droit à la boulevue ; mais il faut bien plus de façons. (Acte 1, scène 11, FLAMAND)
Mon Maître rêve jour et nuit, pour attraper une certaine perfection, qu'il appelle de la pr... probité ; l'y voilà venu à la fin, mais il est l'unique, et il le dit lui-même ; non, dit-il, il n'y a plus de probité aux hommes, et le genre humain... le genre humain. (Acte 1, scène 11, FLAMAND)
Oh tout plein ; on le vient chercher pour cela de tous les côtés, c'est lui qui va partout dans les maisons, faire les plus belles choses qui se fassent. (Acte 1, scène 11, FLAMAND)
Or mon Maître, quoiqu'il ait plus d'esprit que tout le monde, par bonté de coeur, il aime toujours à faire amitié avec ceux qui sont bêtes. (Acte 1, scène 11, FLAMAND)
Et plus l'autre se tuait de lui dire qu'il n'avait que faire d'argent, plus mon maître ne l'écoutait pas, et lui en voulait prêter à toute force ; si bien qu'à la fin je voyais que le coeur franc de mon Maître faisait quasi pleurer l'autre. (Acte 1, scène 11, FLAMAND)
Mais il faut que j'aille au plus vite quérir les lettres de mon maître à ma poste ; car il a des correspondances dans toutes les villes, pour les intrigues d'honneur. (Acte 1, scène 11, FLAMAND)
Monsieur, avoir toujours la vérité dans la bouche, et le coeur sur les lèvres, n'est-ce pas un défaut, et le défaut le plus haïssable qu'on ait parmi les hommes ! (Acte 2, scène 2, ARISTE)
Le bien qu'il me laisse, était plus à moi qu'à lui. (Acte 2, scène 2, ARISTE)
Je croyais que son bien était plus à lui qu'à vous. (Acte 2, scène 2, LE-CAPITAINE)
Oui, Madame, n'ayez plus d'inquiétude là-dessus. (Acte 2, scène 4, ARISTE)
Mon sort ne dépend plus que de vous ; je sais que feu mon mari vous avait tant d'obligations... (Acte 2, scène 4, LA-VEUVE)
Au contraire, il y a beaucoup plus. (Acte 2, scène 4, ARISTE)
Je n'en puis plus. (Acte 2, scène 4, LA-VEUVE)
On ne saurait parler plus libéralement. (Acte 2, scène 4, FROSINE)
Je dois plus faire encore : feu votre époux a eu dessein de vous laisser tout ce qu'il possédait ; tout ce qui lui appartenait, doit vous appartenir : je lui appartenais, j'étais à lui, je dois être à vous ; et mon devoir m'oblige à vous offrir mes biens, et ma personne. (Acte 2, scène 4, ARISTE)
Eh, Monsieur, ne l'épousez plus, et ne donnez rien ; gardez tout pour vous. (Acte 2, scène 5, FLAMAND)
Cela est bon de donner tout par probité, quand on a rien ; mais à cette heure que vous voilà riche, ne soyez plus si honnête homme. (Acte 2, scène 5, FLAMAND)
C'est mon naturel ; car quand vous n'aurez plus rien, qui est-ce qui fera ma fortune ? (Acte 2, scène 5, FLAMAND)
D'avoir un maître qui donne tout aux autres, et qui n'aura plus rien pour moi. (Acte 2, scène 5, FLAMAND)
J'entends ; oui da, mon maître en fait quelquefois comme cela, qui paraissent d'abord, je ne sais comment, et puis il en fait les plus belles vertus du monde. (Acte 2, scène 6, FLAMAND)
Il faut pourtant que je la voie au plus vite pour la faire déclarer ; car je vois que le Capitaine m'empêchera d'épouser cette veuve ; il faut presser la Marquise, c'est le plus sûr ; elle a dessein de m'épouser, il faut la faire déclarer. (Acte 2, scène 8, ARISTE)
Monsieur Ariste, je n'en puis plus ; quelle fatigue ! (Acte 2, scène 9, LA-MARQUISE)
La tête me fend, je suis à demi morte : je viens de quitter le père et la mère de celle que mon fils épouse ; ce père et cette mère, les plus ennuyeux de tous les pères et mères, m'ont enfermée dans un cabinet pour m'assommer d'un détail de contrats, d'articles, de douaires, de préciputs : je m'échappe comme une furieuse, je sors du cabinet, je donne dans une embuscade de Notaires, d'Avocats qui me demandent la bourse ; allez vite disputer mon bien contre ces Arabes-là. (Acte 2, scène 9, LA MARQUISE)
Vous me prenez dans un moment fâcheux, je ne puis plus avoir nulle liaison avec vous, il faut nous séparer ; en un mot, j'épouse la veuve de mon ami. (Acte 2, scène 9, ARISTE)
Quoi, tous les témoignages d'estime et de confiance que je vous ai donnés, ne vous ont pas fait comprendre que je ne puis plus me passer de vous ? (Acte 2, scène 9, LA-MARQUISE)
Madame, je me dois à la Veuve de mon ami par mille raisons, et de plus, puis-je penser à vous sans commettre un crime ? (Acte 2, scène 9, ARISTE)
J'admire qu'une folle comme moi, soit plus forte en morale que Monsieur Ariste ; çà voilà donc notre mariage résolu, nous le terminerons dans quelques jours. (Acte 2, scène 9, LA-MARQUISE)
En la pressant trop, je serais suspect ; cependant ce Capitaine va publier ce testament, qui me dépossède ; la Marquise ne voudra plus de moi, il faut tout risquer pour la presser, si je pouvais l'irriter contre son fils, elle terminerait brusquement. (Acte 2, scène 10, ARISTE)
Vous dire que je suis le vôtre, c'est, selon vous la plus forte reconnaissance que je puisse vous témoigner. (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
Le secret que je vous confie, Monsieur, c'est que j'aime la plus charmante personne du monde, c'est Angélique. (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
Si ma mère savait que je pense à une fille déshéritée, elle serait femme à me déshériter moi-même : cependant Angélique déshéritée, m'en a paru mille fois plus aimable, et son malheur a redoublé ma passion. (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
Peut-on faire un usage plus charmant des richesses ? (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
Je fais réflexion que je suis un sot ; votre manoeuvre est plus fine que la mienne. (Acte 2, scène 14, LE-CAPITAINE)
J'espère pourtant que la nouvelle tentative, que nous projetons, fera connaître à la veuve qu'Ariste est un fourbe, et que vous êtes le plus honnête homme. (Acte 3, scène 1, FROSINE)
(Je ne le dirai plus que cette fois-là) le plus honnête homme... (Acte 3, scène 1, FROSINE)
Il ne s'agit plus de le cacher, il s'agit de le rendre légitime. (Acte 3, scène 2, FROSINE)
Ce qui me réjouit le plus, c'est que tu crois me fâcher, quand tu me fais plaisir ; mais ce qui s'appelle plaisir à la lettre ; plaisir : car en me désobéissant tu m'autorises à faire une certaine démarche ; je n'attendais qu'un prétexte, tu me le fournis, cela est heureux. (Acte 3, scène 3, LA-MARQUISE)
Il faudrait être bien dénaturée, bien inhumaine : je prends un parti plus humain, je me remarie. (Acte 3, scène 3, LA-MARQUISE)
Oui, mon enfant, je me remarie, et je me remarierai tant, tant, que je te donnerai une douzaine de frères, et de soeurs ; cette manière de déshériter, est bien plus réjouissante que l'autre. (Acte 3, scène 3, LA-MARQUISE)
Je suis persuadée que j'en ai, mais je fais mes affaires plus secrètement que toi : je lèverai pourtant bientôt le masque ; tu suis ton petit penchant sans crainte de me déplaire ; je suivrai le mien, sans me soucier de te faire tort. (Acte 3, scène 3, LA-MARQUISE)
Plus j'y pense, et moins je devine. (Acte 3, scène 3, VALÈRE)
Je commence à voir que c'est le plus grand fourbe... (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
Je trouverai un autre beau-père à mon fils, pour le punir, s'il me désobéit : j'ai plus d'une punition en tête. (Acte 3, scène 4, LA-MARQUISE)
Plus je pense à la trahison d'Ariste, et plus je suis saisi d'indignation. (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
Cet homme-là imagine plus agréablement qu'un autre. (Acte 3, scène 4, LA-MARQUISE)
C'est le parti que je vais prendre, Monsieur, ne vous flattez plus d'aucune espérance : dans la disposition, où je vois ma tante, je n'ai plus nulle ressource ; comptez là-dessus, et prenez le parti d'obéir à Madame ; je vous en conjure par toute la tendresse que vous avez pour moi. (Acte 3, scène 4, ANGÉLIQUE)
Plus elle parle, plus elle me gagne le coeur. (Acte 3, scène 4, LA-MARQUISE)
Point du tout : je sens réellement que je la souhaite ; mais si elle commençait à vouloir, je ne voudrais peut-être plus : car il faudrait que je fusse folle, vous aimant tous deux, de vous marier, n'ayant pour tout bien que l'espérance d'hériter de moi : vous seriez morts de faim avant que je mourusse de vieillesse. (Acte 3, scène 5, LA-MARQUISE)
Monsieur, nous n'avons plus d'espérance qu'en vous, qu'en votre bon coeur, qu'en votre probité ; car enfin nous voyons bien que le Capitaine nous trompe, je vous l'ai déjà dit, il n'a point de Testament : il voulait nous faire peur pour attraper la Veuve, le scélérat qu'il est ; mais la veuve est enragée contre lui, pour les calomnies qu'il a faites contre vous. (Acte 3, scène 9, FROSINE)
C'est le plus grand fourbe, que ce Capitaine... (Acte 3, scène 9, FROSINE)
Je sais de lui les actions les plus noires, les plus abominables : il médite quelque trahison pour nous ruiner. (Acte 3, scène 9, FROSINE)
Ils sont tous les plus drôles de personnages, cela m'a bien réjoui. (Acte 3, scène 10, FLAMAND)
Celui qui a le mieux fait, c'est Valère ; car il fait semblant d'être enragé contre vous, avec des noms de traître, de coquin ; et plus il disait rage de vous, et plus je riais. (Acte 3, scène 10, FLAMAND)
Oui, disait-il à la Veuve, Ariste est le plus infâme scélérat ; il mériterait cent coups de bâtons : et moi de rire. (Acte 3, scène 10, FLAMAND)
Non morbleu, Madame, non ventrebleu, je ne vous ménagerai plus. (Acte 3, scène 11, LE-CAPITAINE)
Je ne puis plus tenir contre ses mépris, je suis outré de colère contre elle, aidez-moi à me venger. (Acte 3, scène 11, LE CAPITAINE)
Ne perdons point de temps à choisir des termes ; je ne suis pas poli, je suis homme de mer : vous donc, qui n'avez plus de réputation à ménager, vous pourrez effrontément... (Acte 3, scène 11, LE-CAPITAINE)
Il s'agit bien de cela entre nous ; passez-moi, que vous êtes un maraud, et ne m'interrompez plus. (Acte 3, scène 11, LE-CAPITAINE)
Monsieur, je ne viens plus vous proposer le mariage, vous êtes engagé de coeur, avec Madame la Marquise, je ne veux point vous contraindre ; comme elle est riche, et que je ne le suis pas, elle consent que vous me rendiez mon bien ; il y un Notaire là-dedans, cédez-moi toutes les prétentions que vous avez ; il n'y a rien à dire là-dessus, que oui ou non. (Acte 3, scène 12, LA-VEUVE)
Les choses ont changé, Madame, je ne suis plus dépositaire du bien ; et Monsieur qui est vraiment homme d'honneur, vient de me déclarer que le défunt m'engage à certaines restitutions secrètes... (Acte 3, scène 12, ARISTE)
Non, mais j'avoue qu'il ne m'en fallait pas moins, pour me faire croire toutes les indignités que vous m'avez dites de lui : vous êtes le plus détestable homme... (Acte 3, scène 12, LA-VEUVE)

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LE DÉDIT (1719)

Oui, plus j'y pense, et moins je vois d'expédients... v.3 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Moins dure qu'elle, mais plus folle par malheur. v.52 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
S'agite en même temps de plusieurs passions. v.56 (Acte 1, scène 1, ISABELLE)
Qu'elle ferait pour vous plus que sa soeur aînée; v.65 (Acte 1, scène 1, ISABELLE)
Quoi ! Charmante Isabelle, il ne faut plus vous voir ? v.75 (Acte 1, scène 2, VALÈRE)
Retourner en province, enfin ne plus vous voir. v.84 (Acte 1, scène 2, GÉRONTE)
Il faut bien vous l'ôter, puisque je n'en ai plus. v.91 (Acte 1, scène 2, GÉRONTE)
Quand il faut se quitter, le plus tôt, c'est le mieux. v.108 (Acte 1, scène 2, GÉRONTE)
Et votre plus beau linge, et votre gros brillant v.119 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Le ton railleur : elle est plus folle que plaisante. v.153 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Mais j'ai de plus gagné son coeur ; elle m'adore. v.157 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Bon, ce n'est encor rien : j'ai fait bien plus. v.172 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Pour plus de sûreté près de l'autre je prends v.179 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Je lui plus. Il ne faut, pour plaire à cette sotte, v.217 (Acte 1, scène 6, FRONTIN)
Qui voit avec froideur l'homme le plus charmant. v.223 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
Qui voit avec dédain l'objet le plus aimant v.224 (Acte 1, scène 6, FRONTIN)
Elle me respectait comme la plus parfaite : v.237 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
Notre mariage est de la plus sage espèce. v.254 (Acte 1, scène 6, FRONTIN)
Depuis que je vous vois, je n'ose plus la voir. v.271 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
En nouant celle-là, j'aurai l'air plus comique ; v.277 (Acte 1, scène 7, FRONTIN)
Mais non : le sérieux est ici plus pressé. v.283 (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
De ma soeur... et de plus je hais ce neveu-là. v.291 (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
Et je crains encor plus cette sévère soeur, v.311 (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
En ce monde vingt ans plus tôt pour vous connaître. v.321 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
Envoyons au plus vite un laquais à Valère. v.337 (Acte 1, scène 9, ARAMINTE)
S'il vous venait pourtant, car la plus sage l'a, v.380 (Acte 1, scène 10, ARAMINTE)
Plus que la voix publique encor lui font honneur. v.416 (Acte 1, scène 10, BÉLISE)
Qu'elles poussent plus loin leur éclaircissement. v.427 (Acte 1, scène 11, VALÈRE)
Nous ? Non, non, il n'est plus temps. v.439 (Acte 1, scène 11, ARAMINTE)
Non, vous n'y pensez pas, j'ai plus de quarante ans. v.440 (Acte 1, scène 11, BÉLISE)
J'en ai plus de cinquante. v.441 (Acte 1, scène 11, ARAMINTE)
Ne raillons donc plus, ça nous donnons à Valère, v.453 (Acte 1, scène 11, BÉLISE)
Oh ! Je ne vous retiens plus, v.460 (Acte 1, scène 11, BÉLISE)
Pour ne plus disputer, v.463 (Acte 1, scène 11, ARAMINTE)
Le parti le plus sage, v.494 (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)

LA MALADE SANS MALADIE (1699)

Elle vous haït par exemple beaucoup plus que vous ne la haïssez ; cependant, voyez comme elle vous caresse au moment qu'elle veut vous ruiner ! (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Tout serait perdu, vous dis-je, si elle s'apercevait que je vous avertis de ce qui se passe ; elle ne s'ouvrirait plus à moi, elle me cacherait ses manigances, et nous ne pourrions plus y remédier. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Plus vous avez d'aversion pour moi, plus j'ai envie de vous faire plaisir. (Acte 1, scène 2, LUCINDE)
Elle serait plus robuste, si vous vouliez. (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
Je la trouve admirable après tout, de se mettre en tête qu'elle doit hériter de sa tante, parce qu'est est son héritière ; car une bonne amie est plus proche qu'une nièce. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Valère vint, elle ne me parla plus que de ses charmes. (Acte 1, scène 3, LUCINDE)
Pour lui ôter toute envie de recevoir visite, je suis d'avis de la faire ce matin plus malade qu'à l'ordinaire. (Acte 1, scène 3, LUCINDE)
Il y a de plus dans l'air d'aujourd'hui certaine vapeur assommante. (Acte 1, scène 4, LUCINDE)
Je suis ravi, Madame, de vous voir plus de santé qu'on ne dit. (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Plus de santé ! (Acte 1, scène 5, LUCINDE)
Je vous crois plus de délicatesse que d'infirmité. (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Je n'oserai plus parler, si Mademoiselle continue d'être mon interprète. (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Tu as plus de besoin, que tu ne penses ; te voilà toute embrasée, n'est-ce pas Lisette ? (Acte 1, scène 5, LUCINDE)
Vous en serez plus à portée de lui faire ouvrir les yeux. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Il n'y a que vous qui puissiez vous faire écouter, personne n'ose plus lui parler que Lucinde ; vous voyez comme elle est entêtée ; tâchez qu'elle s'entête de vous, car chez les femmes un entêtement ne se guérit que par un autre. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Ne la voyez plus, Valère, ne la voyez plus. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
Et plus de mariage pour vous. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Cela est vrai : ne la voyez plus absolument. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
C'est assez pleurer dans le fond, car ce n'est presque pas une mort que cette mort-là ; et on ne peut pas dire que le défunt ait perdu la vie, car on n'a plus de vie à perdre à quatre-vingt-quinze ans. (Acte 1, scène 8, LAVALÉE)
La réputation d'une Lisette mariable a volé jusqu'au pays normand, et je brûle d'impatience de faire mes offres : car mon maître et moi sommes venus en poste pour contracter plus vite. (Acte 2, scène 2, LAVALÉE)
Je voudrais que vous eussiez ouï un plaidoyer de ma mère : c'était les plus belles invectives ! (Acte 2, scène 2, LAVALÉE)
Si cette fille-ci m'épouse, ce sera plus par curiosité que par amour. (Acte 2, scène 2, LAVALÉE)
Ce n'est pas ce que j'estime le plus. (Acte 2, scène 3, FAUSSINVILLLE)
Dans le fond, une épouse malade a son mérite ; c'est le trop de santé qui rend les femmes inquiètes ; une femme infirme, qui garde la chambre, est plus fidèle qu'une autre. (Acte 2, scène 3, LAVALÉE)
Je te l'avoue, l'état où je te vois, me fait trembler ; rien n'est plus dangereux que ces verves de santé surnaturelle. (Acte 2, scène 5, LUCINDE)
J'ai là-dessus un goût singulier, un goût qui paraît dépravé ; c'est pourtant le bon, Et je prouverais par bonnes raisons, qu'une beauté malade est cent fois plus aimable qu'une autre. (Acte 2, scène 5, FAUSSINVILLLE)
Je prouverais de plus, que la délicatesse de la constitution fait les visages mignons, rend les organes plus fins, plus délicats, donne le bon air même ; car sans contredit une valétudinaire a la taille plus fine qu'une autre : et l'esprit, l'esprit ! (Acte 2, scène 5, FAUSSINVILLLE)
Tu es un sot : te faut-il plus d'une entrevue pour mettre une servante dans tes intérêts ? (Acte 2, scène 7, FAUSSINVILLLE)
Nous le serons tous deux, Mademoiselle, c'est une affaire faite, il ne s'agit plus que de la forme. (Acte 2, scène 8, FAUSSINVILLLE)
Quelque chose de plus fort. (Acte 2, scène 8, FAUSSINVILLLE)
Votre union dépend plus que jamais du caprice de votre tante ; et votre tante... (Acte 2, scène 9, LISETTE)
Je n'ai plus aucune ressource. (Acte 2, scène 9, ANGÉLIQUE)
Elle n'a plus rien ; et peu avec rien, font un établissement fort triste. (Acte 2, scène 9, LISETTE)
Nous ne pouvons plus être l'un à l'autre, il n'y faut plus penser. (Acte 2, scène 9, ANGÉLIQUE)
Je vous entends, vous prétendez que celle des deux héritières, qui vous craindra le plus, vous épousera ; ce serait une union bien tendre ! (Acte 3, scène 1, VALÈRE)
On n'embrouille point ; au contraire chacun met sa cause dans le plus à beau jour qu'il peut ; c'est une science, un art juridique. (Acte 3, scène 1, FAUSSINVILLLE)
Monsieur, Monsieur, je suis plus impatient que vous, et dès aujourd'hui... (Acte 3, scène 1, FAUSSINVILLLE)
Je suis outré d'indignation contre le plus grand maraud... (Acte 3, scène 2, VALÈRE)
Il me paraît plus passionné qu'hier. (Acte 3, scène 3, LUCINDE)
Je ne puis plus en douter, la donation est prête à éclore ; elle va chez le Notaire, allons avertir nos amants. (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Je suis de votre avis ; mais il faut aller au plus pressé. (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Afin qu'elles n'aillent pas plus loin, allez vite vous emparer de la Malade, et ne la quittez plus que vous ne l'ayez mise à la raison. (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Notre visionnaire a senti la chaleur qu'elle a prise pour une inflammation de poitrine, on l'a menacé de la fièvre, la peur lui a donné le frisson, elle s'est emmitouflée dans son maillot d'hermine, et s'est retranchée là contre les vents coulis : mais l'amour est plus subtil que les vents coulis, elle a soupiré à votre intention. (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Elle prendra plus de plaisir à vous parler de sa maladie, que de soin amour. (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Elle a voulu me faire croire que j'étais très malade, et je l'étais effectivement, car j'ai senti là un brasier ; mais enfin elle me faisait encore plus malade, que je n'étais, pour m'empêcher de recevoir votre visite. (Acte 3, scène 5, LA-MALADE)
En vérité, Madame, je ne puis plus me taire, je vois dans votre fausse amie une malignité, une noirceur d'âme... (Acte 3, scène 5, VALÈRE)
Ne parlez point de son âme, c'est ce qu'elle a de plus beau, si vous saviez comme elle m'aime. (Acte 3, scène 5, LA-MALADE)
Remettons la chose à tantôt, car j'ai à vous entretenir de choses plus importantes. (Acte 3, scène 5, LA-MALADE)
Rien n'est plus important pour vous qu'un accommodement. (Acte 3, scène 5, VALÈRE)
À tantôt, vous dis-je ; ce que j'ai en tête est plus pressé, car cela me tient là d'une force... (Acte 3, scène 5, LA-MALADE)
Elle est un peu jalouse, elle craint que je ne vous aime plus qu'elle : croyez-vous qu'elle ait raison ? (Acte 3, scène 6, LA-MALADE)
Je suis ravi qu'elle soit absente, nous nous entretiendrons plus librement sur votre maladie ; j'ai une impatience extrême d'en apprendre les particularités. (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
Mon mal consiste en toutes sortes de maux, à le bien prendre, car je ne puis dire que je ne souffre point ; premièrement je suis toujours dégoûtée, et avec cela je mange, je mange, je mange, je mange, et si je ne mange quasi de rien, car le plus souvent je ne sais ce que je mange. (Acte 3, scène 6, LA-MALADE)
Mais ce qui me fait le plus souffrir, c'est ce qui ne se comprend point ; car le plus souvent toutes les douleurs cessent, et si c'est encore pis. (Acte 3, scène 6, LA-MALADE)
Pour vous rendre cela plus sensible, imaginez-vous que c'est comme si tout d'un coup... (Acte 3, scène 6, LA-MALADE)
Ah je n'en puis plus ! (Acte 3, scène 6, LA-MALADE)
Voyons au plus vite si mon absence n'aura rien gâté. (Acte 4, scène 1, LUCINDE)
Rien n'est plus aimable, plus charmant, que le tour d'adresse dont j'ai pensé être la dupe ! (Acte 4, scène 2, FAUSSINVILLLE)
Je ne sais plus comment je dois prendre ces faux éloges ? (Acte 4, scène 2, LUCINDE)
Est-il rien de plus louable que l'art de se faire donner ? (Acte 4, scène 2, FAUSSINVILLLE)
Sans doute, mais un coeur noble répugne à recevoir : prendre subtilement fait plus de plaisir. (Acte 4, scène 2, LAVALÉE)
Une honnête fille, et un Normand ne disent oui que le plus tard qu'ils peuvent ; mais Madame est trop politique pour vous refuser. (Acte 4, scène 2, LAVALÉE)
Pour me déterminer sur le consentement ; que vous exigez de moi, il faudrait plus d'un jour ; mais nous n'avons pas un moment à perdre et il nous faut prendre de grandes mesures ensemble. (Acte 4, scène 2, LUCINDE)
Vous consentez, ne perdons plus de temps. (Acte 4, scène 2, FAUSSINVILLLE)
Je ferai plus encore : pour la porter à déshériter sa nièce, je lui dirai qu'elle est venue me solliciter contre elle, et que... (Acte 4, scène 3, FAUSSINVILLLE)
Oui, Monsieur, vous êtes le plus grand chicaneur, le plus malhonnête homme... (Acte 4, scène 4, LUCINDE)
Préparez-vous à solliciter jour et nuit contre elle ; nous verrons qui d'elle ou de vous se lèvera plus matin. (Acte 4, scène 4, FAUSSINVILLLE)
Nous verrons qui de nous deux, tiendra plus longtemps pied à boule à la porte de l'audience. (Acte 4, scène 4, FAUSSINVILLLE)
Quand vous l'aurez cédée, nous plaiderons pour le reste ; car je prends votre nièce avec ses prétentions, elle m'avait prié de vous cacher son dessein ; mais pourquoi vous ménager, nous sommes les plus forts, et ce qui prouve que j'ai en main de quoi vous abîmer, c'est que je ne veux nul accommodement avec vous. (Acte 4, scène 4, FAUSSINVILLLE)
Tant qu'elle n'a voulu que me perdre, moi, je l'ai ménagée, mais c'est toi qu'elle attaque, je ne me possède plus ; je me déclare ouvertement contre elle, et je te conseille de te mettre à couvert de ses injustes prétentions. (Acte 4, scène 5, LUCINDE)
Je m'aperçus bien que cela te faisait peine ; et pour ne plus blesser ta délicatesse, j'ai changé de dessein. (Acte 4, scène 5, LA-MALADE)
Je veux me sacrifier pour ton repos, je ne balance plus, j'accepte ta proposition. (Acte 4, scène 5, LUCINDE)
Plus avantageuses pour toi ; car sans te charger ni d'embarras, ni de propriété, j'aurai soin de toi tant que je vivrai ; et quand je serai morte, nous n'aurons plus besoin de rien. (Acte 4, scène 5, LA-MALADE)
Plus l'affaire est importante, et plus elle me pèse ; l'incertitude me cause une oppression, l'incertitude m'empêche de respirer. (Acte 4, scène 6, LA-MALADE)
Ni moi non plus ; mais Lucinde en trouvera bien, elle, et travaillera pour nous, en croyant travailler pour elle. (Acte 4, scène 7, LISETTE)
Concertons-nous un peu en particulier : je ne sais comment m'y prendre pour détourner mon amie du mariage ; il faut que je lui sois devenue bien suspecte, car je lui parle de ses maux, et elle ne m'écoute plus. (Acte 5, scène 1, LUCINDE)
Fort bien : il faut donc que j'aille au plus vite signer la promesse de mariage, dont je suis convenue avec lui. (Acte 5, scène 1, LUCINDE)
Rien n'est plus opposé à l'union que le mariage. (Acte 5, scène 2, LISETTE)
On dira peut-être que plus il est aimable, plus il sera sensible à votre santé. (Acte 5, scène 3, LISETTE)
Rien n'est plus opposé que ma méthode, et la leur ; car j'allonge la vie en abrégeant la maladie, les remèdes, et les consultations. (Acte 5, scène 4, LAVALÉE)
Je n'ai plus de question à vous faire, Madame, et cette faiblesse de tête me fait connaître à fonds la fragilité de votre constitution ; j'ai tant vu de ces cerveaux à sonnettes : oui, Madame, Sans vous étudier davantage, je lis dans votre tête à crâne ouvert, et j'y vois des membranes d'une délicatesse... (Acte 5, scène 4, LAVALÉE)
les fibres de votre cerveau ne sont pas plus gros que des cheveux. (Acte 5, scène 4, LAVAL?E)
Je ne m'étonne plus, si ma tête est toujours toute prête à rompre. (Acte 5, scène 4, LA-MALADE)
Je suis bien plus malade que je ne pensais. (Acte 5, scène 5, LA-MALADE)
Je calcule que vous n'avez de la vie, que ce qu'il vous en faut tout juste : non, Monsieur, si elle donnait la vie à un enfant pas plus gros que le poing, il ne lui en resterait plus pour elle. (Acte 5, scène 5, LAVALÉE)
Je suis bien aise de vous tenir là tous deux ensemble, pour me débarrasser au plus vite la tête d'une dernière résolution, que j'avais prise dès tantôt ; car je me doutais bien que j'étais confisquée : je vous dirai donc que ma tendresse pour Monsieur, est toute fondée sur l'estime ; je ne l'épousais que pour l'enrichir, et l'attacher à moi ; mais je puis vous enrichir tous deux, et vous attacher à moi, en vous mariant ensemble. (Acte 5, scène 3, LA-MALADE)
Je n'en puis plus ; je vous conjure de ne me pas faire parler davantage... (Acte 5, scène 3, LA-MALADE)
Je l'accepte aussi moi, ce mariage-ci est le plus sûr ; va vite amuser Faussinville, pendant que j'épouserai Valère. (Acte 5, scène 3, LUCINDE)
Oh parbleu, j'empêcherai bien ce mariage ; j'ai tout entendu, je prends le plus sûr parti ; lisez, Monsieur, c'est une promesse de mariage qu'elle vient de me signer. (Acte 5, scène 8, FAUSSINVILLLE)
Je n'ai tiré d'elle cet écrit que pour vous désinfatuer d'une créature, qui m'empêchait de m'accommoder avec vous : cela sera facile à présent ; et l'accommodement le plus naturel, c'est que vous me donniez votre nièce. (Acte 5, scène 9, FAUSSINVILLLE)
Ma tante, je ne veux pas que vous soyez heureuse à demi ; on vous a délivrée d'une amie scélérate, je vais vous délivrer encore du plus malhonnête homme du monde. (Acte 5, scène 9, ANGÉLIQUE)
Non, non Monsieur, je veux prouver à ma tante le mépris que j'ai pour vous, et la tendresse que j'ai pour elle ; et afin que vous ne puissiez jamais la chicaner en mon nom, je lui cède tous mes droits sur la succession nouvelle ; oui ma tante, je veux bien dépendre entièrement de vos bontés, puisque Lucinde n'en empêchera plus l'effet. (Acte 5, scène 9, ANGÉLIQUE)

LE DOUBLE VEUVAGE (1699)

Sais-tu que quand je veux me donner la peine de m'appliquer au solide, j'en suis plus capable que toi. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Je la verrai donc, je ne pars plus. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
Ce sont les plus jolis petits charmes, ils n'ont que quinze ans ces charmes-là : il lui en vient de nouveaux tous les jours, et vous épouserez bientôt tout cela. (Acte 2, scène 1, FROSINE)
C'est le plus grand malheur qui me puisse arriver. (Acte 2, scène 1, DORANTE)
Voici quelques-unes de vos délicatesses bizarres : vous êtes le Gentilhomme de France le plus raisonnable, mais votre amour n'a pas le sens commun. (Acte 2, scène 1, FROSINE)
La Fille la plus sage, v.1 (Acte 2, scène 2, THÉRÈSE)
La Fille la plus sage, v.6 (Acte 2, scène 2, TH?R?SE)
La fille la plus sage. (Acte 2, scène 2, FROSINE)
La Fille la plus sage, v.9 (Acte 2, scène 2, THÉRÈSE)
Vous seriez plus raisonnable. (Acte 2, scène 2, THÉRÈSE)
Est-il rien de plus raisonnable que mes plaintes ? (Acte 2, scène 2, DORANTE)
Mon caractère n'est pas plus éloigné du vôtre, que le vôtre est éloigné du mien. (Acte 2, scène 2, THÉRÈSE)
Ma gaîté, ma gaîté ; je conclus moi, moi, que ma gaîté vous doit prouver ma tendresse ; et voici comme je raisonne, car vous m'avez appris à faire des raisonnements ; vous savez avec quelle frayeur j'ai toujours envisagé le mariage, parce qu'il est triste, je crains donc le mariage naturellement, je vois qu'on me veut marier avec vous, et je n'en suis pas plus chagrine. (Acte 2, scène 3, THÉRÈSE)
Ce n'est pas que je ne vous estime beaucoup l'intérêt que je prends à votre mariage, vous le prouve assez ; mais j'ai résolu de rire aujourd'hui du ridicule de tous ceux qui sont ici autour de moi ; je n'ai plus qu'un jour ennuyeux à passer à ma campagne, je veux me désennuyer de tout ce qui se présentera : notre Veuve sera le principal sujet de mon divertissement ; et la manière dont je m'y prends pour tirer de l'argent d'elle, est une espèce de Comédie que je veux me donner. (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
Je vais aussi prendre le noir pour rendre la chose plus touchante. (Acte 2, scène 4, THÉRÈSE)
Mon mari ne me dit jamais de secrets, il a raison, car je suis trop babillarde, et je n'aime point non plus qu'il me conte rien, car il est si landore ; il a la parole si longue, si longue, que j'aurais plutôt écouté cent douceurs d'un autre, qu'il ne m'en aurait dit une. (Acte 2, scène 6, LA SUISSESSE)
Le plus brutal. v.40 (Acte 2, scène 9, GUSMAND)
Oui l'intérêt lui seul produit dans certaines familles plus d'embrassades fausses, que l'amour et l'amitié n'en produisent de sincères dans tout Paris. (Acte 2, scène 10, GUSMAND)
Ménagez votre poitrine, Madame, ménagez votre poitrine : gémir, soupirer, sangloter, toutes ces démonstrations de douleur vous feraient plus de mal, que la douleur même. (Acte 2, scène 11, LA COMTESSE)
Vivez, et ne pleurez plus. (Acte 2, scène 11, LA COMTESSE)
Ne m'en parlez plus, je suis trop affligée. (Acte 2, scène 11, LA VEUVE)
Rien n'est plus plaisant, cela me charme. (Acte 3, scène 1, THÉRÈSE)
J'aurai autant de chagrin que vous : plus d'espérance, je suis désolée. (Acte 3, scène 2, THÉRÈSE)
Vous êtes sensible, je suis aimé, je ne souhaite plus rien au monde, je ne voulais que votre coeur. (Acte 3, scène 2, DORANTE)
Monsieur, on devine toujours d'abord ce qu'on craint, ou ce qu'on souhaite le plus ; vous l'avez deviné, votre femme est morte. (Acte 3, scène 5, GUSMAND)
Cela saute aux yeux ; je n'osais vous le dire non plus, moi. (Acte 3, scène 5, GUSMAND)
Pour souhaiter votre mort, non ; mais elle craignait que vous vécussiez plus qu'elle. (Acte 3, scène 5, GUSMAND)
À présent que vous ne pleurez plus, souvenez-vous de la tendresse que vous aviez pour Thérèse, lorsque vous me fîtes confidence, que vous vivriez plus longtemps que votre femme. (Acte 3, scène 5, GUSMAND)
Drès que son femme l'aura vu, a se doutera bien qu'il n'est plus mort. (Acte 3, scène 7, LE SUISSE)
Plus de mariage. (Acte 3, scène 7, LA SUISSESSE)
Nous ne boirons plus. (Acte 3, scène 7, LE SUISSE)
Plus. (Acte 3, scène 7, LA SUISSESSE, LE LAQUAIS)
Il en sera plus inconstant. (Acte 3, scène 10, THÉRÈSE)
Plus un homme est âgé, plus il y a d'apparence qu'il vous aimera le reste de sa vie. (Acte 3, scène 10, GUSMAND)
Je feins de ne rien comprendre à ses discours passionnés ; mais moins je lui parais intelligent, plus elle se rend intelligible ; je n'y pouvais plus tenir ; je l'ai laissée seule dans le jardin, où elle est restée pour cacher son trouble : elle soupire, elle s'agite. (Acte 3, scène 13, DORANTE)
Madame, je vous ai dit de quelle conséquence il est pour vous, de contenter au plus vite Madame_la_Comtesse ; vous ne m'honorez point de votre attention. (Acte 3, scène 14, DORANTE)
Vous me pressez de donner tout mon bien, vous ne savez pas que plus j'en aurai... (Acte 3, scène 14, LA VEUVE)
Frosine, tout va encore plus mal de l'autre. (Acte 3, scène 15, GUSMAND)
Bon, voici le mari : j'aperçois aussi sa femme : éteignons les lumières, pour faire durer plus longtemps le double veuvage. (Acte 3, scène 17, GUSMAND)
Il n'y a que moi ici, ne tremblez plus, suivez-moi. (Acte 3, scène 19, L'INTENDANT)
Notre Intendant est outré de n'être plus veuf : il peste contre Madame_la_Comtesse qui lui a donné cette fausse joie ; mais il n'ose rompre avec Gusmand, il craint qu'il n'apprenne à sa chère épouse son infidélité. (Acte 3, scène 1, FROSINE)
Il vous aime, mais il est encore plus amoureux de la succession de sa femme : enfin Gusmand fera de son mieux pour ramener cet esprit là. (Acte 3, scène 1, FROSINE)
Une femme espérer vivre plus longtemps que son mari ! (Acte 3, scène 2, L'INTENDANT)
Qu'un mari souhaite vivre plus longtemps que sa femme, cela est dans la nature, cela. (Acte 3, scène 2, GUSMAND)
Les transports de ma Maîtresse sont encore plus violents : pour les adoucir elle s'est évanouie deux fois. (Acte 3, scène 3, FROSINE)
Oui, c'est une traître que cette Madame_la_Comtesse ; mais votre mari mérite aussi votre colère, premièrement parce qu'il est en vie, et de plus, parce qu'il est infidèle ; mais de peur qu'il ne s'aperçoive que vous l'êtes aussi, feignez, comme je vous l'ai dit, d'être ravie de le revoir. (Acte 3, scène 4, FROSINE)
Plus j'approche d'elle, plus mon indignation redouble. (Acte 3, scène 5, L'INTENDANT)
Afin de n'avoir plus autour de moi personne qui puisse espérer ma succession à votre préjudice, j'ai résolu d'envoyer mon neveu aux Indes. (Acte 3, scène 5, L'INTENDANT)
Mais ma vertu n'entend non plus raison, v.106 (Acte 3, scène 6, LA SUISSESSE)
Que vous dirai-je enfin : Tous les traits les plus beaux, v.166 (Acte 3, scène 6, GUSMAND)

Dans les 1862 textes du corpus, il y a 18 textes (soit une présence dans 0,97 % des textes) dans lesquels il y a 889 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 49,39 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	LA JOUEUSE	9	14	12	15	12	62
2	LA NOCE INTERROMPUE	13	0	0	0	0	13
3	LA NOCE INTERROMPUE	8	0	0	0	0	8
4	LES MAL-ASSORTIS	19	3	0	0	0	22
5	LA COQUETTE DE VILLAGE OU LE LOT SUPPOSÉ	23	15	0	0	0	38
6	LE D?PART DES COM?DIENS	9	0	0	0	0	9
7	LE DÉPART DES COMÉDIENS	4	0	0	0	0	4
8	LE CHEVALIER JOUEUR	2	28	0	13	17	60
9	LE N?GLIGENT	17	10	18	0	0	45
10	LE NÉGLIGENT	2	0	2	0	0	4
11	L'ESPRIT DE CONTRADICTION	27	0	0	0	0	27
12	LA RÉCONCILIATION NORMANDE	11	19	15	9	11	65
13	LE JALOUX HONTEUX	12	17	5	13	8	55
14	LES ADIEUX DES OFFICIERS	18	0	0	0	0	18
15	LES ADIEUX DES OFFICIERS	10	0	0	0	0	10
16	LE MARIAGE FAIT ET ROMPU	18	15	21	0	0	54
17	LE FAUX INSTINCT	13	11	8	0	0	32
18	LE FAUX SINCÈRE	19	20	14	22	19	94
19	LE FAUX HONN?TE HOMME	23	27	28	0	0	78
20	LE DÉDIT	35	0	0	0	0	35
21	LA MALADE SANS MALADIE	19	15	22	19	17	92
22	LE DOUBLE VEUVAGE	2	15	27	0	0	44
23	LES MAL-ASSORTIS	0	11	0	0	0	11
24	LE DOUBLE VEUVAGE	0	4	2	0	0	6
25	LA JOUEUSE	0	0	1	2	0	3
	Total	313	224	175	93	84	889